(+18) Can't control myself ♡ Ailin

Répétition d'un cirque malsain ! D'une pièce de théâtre qui ne se termine jamais. Et dans cette bulle, il n'y a que les noirceurs d'un esprit qui ne cesse de trop penser, quand les angoisses viennent anesthésier les sentiments d'un coeur pourtant prêt à exploser, prêt à tout lui offrir, sans qu'elle n'en controle jamais ses mots, ni même ses maladresses. Rongée par l'inquiétude de tout rater, encore une fois, de ne jamais réussir, car sur ses épaules, c'est le poids d'un nom et d'une fratrie qu'elle porte, la gloire de ses parents, de voir leurs enfants réussir. Et Sia a ce rôle d'aînée depuis trop longtemps, à en guider chacun des pas, en observer chaque âme pour qu'aucun d'eux ne sombre. Alors elle est la première à mettre un pied dans le visage, sans même regarder. La première à sentir ses piliers faiblir sous le poids de ce qu'elle s'inflige.

Et elle n'a cessé de le repousser, le rejeter, quand le coeur se serre pourtant de ne pas le voir, ne pas pouvoir le serrer dans ses bras, plus que tout, elle le voudrait. Sentir son odeur, sentir sa chaleur autour de sa taille, entendre sa voix ! Pour la rassurer, porter avec elle ce poids qu'il ne comprend pourtant pas. Elle l'aime, d'un amour qu'elle ne sait pas non plus controler, qu'elle n'a jamais vu venir, qu'elle a eu du mal à accepter avant même d'en avoir les harmonies entre ses lèvres ! Les mains s'engouffrent dans la chevelure épaisse et sombre, alors que le dos est courbé au dessus du bureau, des notes qu'elle n'arrive plus à comprendre à cause du manque de sommeil, de la faim qui tiraille son estomac dans le silence, sans jamais en confier quoi que ce soit. Seule dans cette appartement, d'une coloc qu'elle ne voit jamais, ne sait pas si elle reviendra un jour. Et elle sent sa présence, n'a pas besoin de relever la tête quand elle soupire longuement, le visage se laissant tomber avec douceur contre les livres, les bras qui en recouvrent la tête. You came. Murmuré dans le vide de cette pièce, relevant avec lenteur la tête, les cheveux en batailles, pour poser le regard sur lui ; nouveau soupir. Why ?
Elle n'a pas grand chose à lui offrir, ce soir.

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maux indolores :
déranger le monde ,,
comme enfant délaissé.
et Ailin se sentait seul. de ceux venant à y nourrir les avenirs de savoirs, des autres qui en avaient perdu étincelles dans les regards. que lui restait-il au final ? quand les heures tapantes, les visages en avaient refusé les visions contre les livres et la sensation des pages contre les doigts. c'est qu'il en avait ce besoin, lui, d'en toucher les chevelures ; sentir les parfums qui le repoussaient si facilement. à ne rien pouvoir dire ! quand tout ne faisait que l'attrister ((presque oublié)), quand les pulsants en avaient si mal. peut-être n'en était-il que parasite ,, dans ces lieux qu'il voulait pourtant effleurer pour se faire pardonner. et qui sait, arriverait-elle sans doute à en oublier les arrogances de celui qui n'en demandait qu'attention toujours plus dévorante. Ailin ,,  à aimer ces pulsations vibrantes : quand il voulait en rendre heureuse celle qui avait toujours été à ses côtés. gracier les cieux , se montrer utile, de ces éclats nécroses.

à vouloir comprendre ,,
pourquoi tout était si
différent.

alors magie ! à faire apparaître les silhouettes non souhaitées dans son dos. sac empli de friandises salées aux mains ,, ô il en connaissait la jeune femme : de ces révisions qui en menaçaient les santés. celles qui en étaient devenues démons des nuits insoutenables. soupir ! à le faire s'arrêter, baisser légèrement les yeux, quand nuque éraflée de sa paume il la regarda un instant. "sorry. I can go back if you want to but...", qu'il s'approcha tout doucement, calmement, déposant là repas sur son bureau, quand tout doucement, il laissa ses doigts se poser sur ses épaules pour en relaxer tensions : offrir instant de pause, massage contre les peaux ,, quand ce n'était là tout ce qu'il pouvait faire pour elle. "I wanted to see you so much. sorry.", à soupirer, décaler ses cheveux pour en dégager sa nuque, quand se penchant tout doucement, il y déposa un simple baiser bien plus délicat. "I prepared you something to eat. so try at least to take care of you." car il en comprenait les peurs de la belle ! quand lui n'y voyait que talent entre ses doigts : à savoir pertinemment qu'elle était capable de tout, quand les monstres en dévoraient les anxiétés pour les assimiler, lui en serait simple repos pour une muse aux couleurs vacillantes ((épuisée)).
à tout voir ,,
veiller en silence :
comme fantôme

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Et elle n'a pas réellement de penser, penser à elle, à lui, à eux, elle préfère oublier quand les angoisses sont des reines au-dessus d'elle, ne sont que des poids que l'on voudrait ignorer sans même qu'elle y parvienne. Elle a le coeur lourd Sia, elle a les épaules douloureuses, ne peut plus tout porter d'elle même, c'est un peu de trop, ou bien, c'est toujours de trop.
Des soupirs qu'elle laisse s'échapper à répétition, les mains passées dans ses cheveux pour en faire valser les mèches loin de ses yeux, de son front, où tout dérange, prise de tête à chaque instant dans ses révisions, sans jamais quand elle en verra enfin de bout. Il n'y a pas de fin.
Rien, par même quand il est là, quand il fait honneur de sa présence, pourtant repoussé, quand elle se sait pas d'humeur à céder à ses caprices, ni même à se sentir contre sa peau, d'un contact qui l'irrite parfois, quand elle se sent sombrer, sans la mer dans ses poumons, et elle a peur de ne jamais y arriver, jamais s'en sortir.
C'est trop.
No, now that you’re here, it’s okay... Soufflé alors qu'elle se laisse retomber dans le fond de sa chaise, alors que ses mains viennent se déposer sur ses épaules, douleurs qui tirent trop souvent sur ses chairs alors que le besoin est violent, les yeux se ferment, elle inspire avant d'expirer longuement. I know, I’m sorry. It feels good. Main qui vient se déposer par dessus la sienne, sans chaleur car elle la sait recouverte d'un cuir qu'elle n'a pas le droit d'ignorer, pas le droit d'en découvrir les épidermes cachés, secrets. Frissons le long de son échine, les lèvres s'étirent avec lenteur, la fatigue est puissante, règne au dessus d'elle comme une force bien plus supérieur que les dieux. Hm. What did you cook? Les paupières se rouvrent difficilement, main qui vient en ouvrir le sac sans réellement jeter un coup d'oeil dedans, mais l'odeur suffit à lui ouvrir encore plus l'appétit. It smells good. Et le corps vient se déplier, les pieds se reposent sur le sol pour se lever, s'éloigner cette chaise, suffisament pour lui faire face, les bras s'enroulant autour de son cou quand elle s'élève sur les pointes des pieds pour se nourrir de sa chaleur, son odeur, l'autorisé un peu plus dans sa bulle, quand la solitude est souvent reine de son petit monde. I’m glad you’re here. Thank you, I love you.
S'avouer vaincu face à lui.

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s'imposer ,,
quand non désiré :
à être intru, dans les lieux.
c'est que trop têtu, à vouloir n'en faire qu'à sa tête, ô Ailin en détestait ces sensations de déranger. de n'être à sa place nul part : quand pourtant il n'en voulait que donner ces pardons pour en rendre plus glorieuses les soirées. polir les regards, les faire rêver de nouveau, quand de ces nuits si longues ses seules souffrances en avaient trouvé refuge dans les livres et révisions. poser les doigts sur sa silhouette ,, tenter de s'en montrer utile quand il pourrait en apparaître comme illusion d'un soir : il en voulait de ces idylles simple réconfort à offrir à une étoiles en perdition.

et Sia ,,
ne le repousse pas :
ce soir.

quand il n'en tenterait que douceur, à juste vouloir créer miracle là où les confiances en étaient apeurées. "is it really okay ? or are  upset ?", à ne vouloir que détendre les présences, et non les irriter. à en masser les peaux, sentir sa main contre la sienne par procuration : quand les yeux emplis de grâce, ne voulait que la combler de luxures. "don't be. and I'm glad then. if I just...can bring you something." sourire aux lèvres ! à alors en être presque gracié, quand il en avait demandé à n'être que repos pour les âmes fatiguées. "just some salmon onigiri and chicken croquettes.", simple mais nourrissant : à n'avoir que voulu en aider un peu. venant tout doucement s'écarter, à l'admirer tout doucement comme presque émerveillé, il la laissa s'approcher ,, à glisser ses bras autour d'elle pour en planter son visage dans son cou. y glisser baisers délicats pour en caresser sa peau. baisser les épaules, pour en faciliter les prises : à ne pas vouloir la lâcher, comme si le myocarde en avait explosé. "I love you too."
à doucement
soulever la plus petite :
pour la garder dans ses bras.
la porter ,, la serrer contre lui comme bouffée d'oxygène, respirer ses parfums, comme pour revivre de nouveau. consoler les fiertés, qui en étaient bien trop dociles. à la caler contre lui, doucement prendre son repas, il se glissa dans l'appartement, par se finir par se poser sur le canapé , à la caler contre lui, quand dans son dos, il laissa son front se poser contre son épaule. "you look tired, babe.", murmuré comme sortilège, à ne jamais se faire trop bruyant, Ailin. "how could I sleep well when I know you're not even taking care of yourself." et il avait mal, le plus grand : quand il ne voulait simplement pas la voir s'effondrer. lui tendre ce qu'il lui avait apporté, à se faire silencieux de ces confessions. à vouloir la garder contre lui, quand dans son dos, il retirerait ses gants presque trop discrètement : rare phénomène, sans l'annoncer ,, pour les cacher dans une étreinte qui en entourerait sa taille. changer ses habitudes, sans en dire mot. coup sur la tête sans doute, quand pour lui tout n'était que symbolique. à vouloir les rendre invisibles, à juste vouloir la sentir contre lui : comme si lui n'en était qu'en manque d'affection ; qu'il lui offrirait là confiance merveilleuses.

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Symphonie colorée, quelques notes valsent au-dessus des têtes, se déposent sur les chairs, pour en épouser leur grâce. Les cieux ne chantent pourtant pas, pas ces chants joyeux, quand il n'y a que fatigue, muscles épuisés, les yeux tirent et les lèvres ne réclament qu'un peu de sommeil, parfois, un peu d'amour contre elles. Mais il n'y avait personne pour leur tenir compagnie avant qu'il n'arrive ; Ailin. Comme ange qui symbolise la paix et la liberté. Parce qu'il est grand, rayonne de ces ailes qui l'emportent toujours loin, ailleurs, jamais près d'elle. Parce qu'il ne possède pas de chaînes à ses pieds. Il n'est pas coincé ici, comme elle.
Il n'est pas voué à attendre qu'on le sauve,
Il est libre.
Et Sia, il ne peut pas la sauver. Il ne porte pas son nom gravé sur son coeur. Il ne peut pas l'emporter loin de tout, loin d'ici. Il ne peut rien faire, si ce n'est que refermer ces bras autour d'elle, embrasser un instant ses lèvres avant qu'elles ne se quittent de nouveau. Il peut caresser sa peau, quelques secondes, mais jamais pour l'éternité. Il peut se nourrir de son amour ; mais jamais pour toujours. Destin jamais lié, âmes jamais soeurs. Im not upset, ailin. Voix calme quand l'orage est rarement présent dans le fond de sa gorge, ne gronde jamais, trop loin du soleil et des papillons qui s'agitent dans ses entrailles dès que qu'elle entend le son de sa voix, sent son souffle contre son cou, ses lèvres contre les siennes. Im just really... Really tired. Le visage qui s'engouffre dans les songes, paupières lourdes qui viennent chercher réconfort contre lui, chaleur qui l'emporte autant que sa douceur. Ses bras autour de sa taille, de son torse, aimé, peut-être même adoré quand elle y retrouve le chemin de la raison! Hm, sound good... et se laisser porter, sans grogner, sans se débattre, laisser les douceurs s'installer ailleurs, loin de ce bureau qui lui rappelle trop de ces nuits d'insomnies, passées à se gaver la gorge de mots qu'elle refuse maintenant d'avaler, de même comprendre. Accroché comme une enfant, à se fondre dans ses bras quand les corps retrouvent le confort du sofa, soupire de soulagement qui s'extirpe de ses lèvres, carcasse épuisée, dans la joie de pourtant enfin s'écrouler. I am, but it’s better now that you’re here. You were right to come. Le sourire s'étire doucement alors que le dos se repose contre son torse, la tête légèrement penchée en arrière pour déposer quelques baisers sur sa joue, caressant d'une main ses cheveux, quand elle sent ses paumes resserrer sa taille, et de ses doits libres, elle vient en frôler la peau découverte sans qu'elle s'en aperçoive. Did you take your gloves off? Is it okay if I put my hand on yours or don’t you want to? Baiser déposé contre ses pulpeuses, de l'amour qui s'échappe de chacun de ses gestes. Elle ne veut pas le brusquer, ni même le blesser, jamais. I’ll understand. You trust me enough to take them out, don’t you?
Et la main reste suspendu, en attendant une réponse ;
Qu'importe les mots et décisions choisies.

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sauver les joies ,,
venir les faire éclore
quand il était apparu.
là, comme chaleur, pour en enlacer corps et fatigues, pour épouser les peaux de ces douceurs impartiales. à ne se faire aucunement sauveur d'un nouveau monde, quand lui ne pourrait qu'en confier épaules pour apaiser les regards, faire taire les soleils pour laisser les étoiles les surplomber. n'être doué que pour cela, quand les corps en étaient ses passions , à venir y dévoiler symphonies à chaque toucher, quand tout semblait si froid. mais tout était si loin, que même près de lui les pétales flétrissaient, à n'être qu'éphémères, face à lui. car il en tuait tout ce qui l'approchait.
à n'y voir
plus rien de beau :
sauf elle.
beauté magnifique, à le laisser s'approcher, quand il en demandait bien trop d'attention, bien trop de regard, comme pour se sentir aimé. à ne faire que murmurer, espérer : qu'il n'en avait pas dépassé les bornes, à s'être infiltré là pour en allumer les bougies, atténuer les fatigues ,, offrir répit à celle bien trop épuisée. à l'enlacer, glisser ses bras tout autour d'elle pour lui en créer cocon futile, faire de ces instants simples tendresses pour se faire pardonner de tous ces maux. "I know, that you're tired.", qu'il voyait sur les visages les songes vipères, qui n'en créaient que douleur sur les paupières. à l'emmener loin de ce monde ! la porter comme pour la faire oublier tous ses problèmes : car ils ne seraient qu'eux deux, ce soir.

caresser les nuques de ses lèvres, déposer les corps contre le sien sur ces canapés loin des travaux mortels ,, pour finalement se laisser bercer lui-même de ces douceurs si infinies. "I'm glad then...I hope it will make you better...really.", qu'il se glissait contre elle, se frayait chemin : dévoilant secrets les plus infâmes pour en offrir un peu plus de chaleur. car i ne voulait plus lui en offrir ces froideurs des cuirs ,, à juste vouloir se libérer d'un poids trop grand pour lui ; lui faire partager un peu de lui, quand toujours trop lointain. et de ses baisers contre son visage, à se blottir contre elle, de ses mains dans ses cheveux, il en soupirait, fermait les yeux : jusqu'à sentir chaleur pour la première fois depuis trop longtemps sans doute, sur ces mains qu'il avait toujours tenté de trop cacher. "yeah...I did...I...wanted to feel some heat against them. sorry.", à venir tout doucement en attraper l'une de ses mains hésitantes du bout des doigts, à ne pas réellement savoir s'y prendre, quand les habitudes n'en étaient que trop hasardeuses. "if you don't want to touch them, I'll understand too...just tell me if you find that weird."

car de ses baisers,
à ses paroles
il était effrayé.

de la dégouter, quand les marques et reliefs étaient différents de tout, à venir pourtant l'embrasser tout doucement : comme si le souffle pouvait se couper en un instant."I trust you...more than anyone. maybe...it's just because I wanted to show you how fond of you I am.", murmuré comme délicatesse contre son épaule, à tout doucement en ouvrir les paumes ,, quand il ne voulait rien lui cacher. "but I can put them back...if it makes you unconfortable. it's just...that I thought it might be better to touch some skin...than leather... like...to relax you or something..." car tout n'était fait que pour elle, dans ces lieux. à juste vouloir installer là confort : pour en détendre les têtes malmenées.
y créer royaume :
où elle en serait
Reine.

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Et l'amour est roi, s'élève comme triomphe absolu ! Dans les infinités du temps, dans ces carcasses où les coeurs battent d'une douce et divine harmonie. Le printemps arrive, les bourgeons sont empereurs dans ces champs où les plus belles fleurs viennent éblouir le soleil et ses astres, lui qui réchauffe la terre et les corps, laissant la brise briser le froid hivernal. Il y a des quelques feuilles qui renaissent dans ces carcasses, prêtent à s'aimer pour ne plus laisser les batailles avoir raison de leurs plaies, des maux qui souillent chaque morceau de leur peau.
Et Sia voudrait tout lui offrir, le temps comme la patience, l'avenir comme le présent, pour ne jamais avoir à le regarder partir, tourner son dos ! Elle n'en supporterait jamais l'absence, quand elle le tient déjà loin de lui, d'un égoïsme qui ronge son âme, mais elle oublie souvent, trop souvent, qu'elle n'est pas seule, elle ne l'est plus. I’m sure of it, because it’s from you.
Se laissant fondre dans ses bras, elle laisse ses bras s'enrouler autour de son corps, sa chaleur la réchauffer quand la fatigue est impératrice, voudrait bien l'attirer dans des songes profonds, mais elle veut pouvoir profiter de lui, ne plus le repousser, parce qu'il est là, à ses côtés. Elle a passé trop de temps, trop de jours à le chercher, tout faire pour le faire tomber dans ses bras pour ne jamais s'en séparer, quand elle est certaine ! Qu'il est âme soeur. Quand ses doigts caressent les siennes, à en envelopper la chair maltraité de toute sa chaleur, quand le coeur se berce d'une tendresse, quand les mots sont murmurés à ses tympans. No, I don’t think it’s weird. I love your hands, and I love you. I’m glad you trust me. Et avec tendresse, ses paumes se referment autour des siennes, quand sa tête vient se caler contre la sienne, le silence les enveloppe alors qu'elle ne cesse de sourire, ses phalanges qui caressent les siennes avec toute l'amour du monde, venant lentement les ramener à ses lèvres pour en déposer baisers sur la peau si souvent cachée. S'assurant de ne pas le gêner, alors que ses paupières se ferment pour profiter de l'instant. As long as you don’t feel forced, then everything’s fine. I love everything about you. I would never find that horrible or disgusting, okay? Les yeux se rouvrent alors que son visage se retourne de nouveau vers le sien, elle vient lui sourire avec toute la sincérité du monde, déposant son front contre le sien. I like to feel your hands and skin. I wish this moment was eternal and ours. Can you stay tonight? Alors qu'un baiser est déposé sur le haut de sa tête, ses mains toujours dans les siennes, serrées contre sa poitrine.
A lui jurer tous les anciens et nouveaux mondes ;
Pour son amour.

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à en faire muse ,,
de ses pensées :
Sia.
à l'aimer sans condition, la regarder comme plus belle merveille du monde. et peut-être s'en sentait-il lui-même, à ses côtés, et peut-être n'avait-il rien à cacher, contre elle. à vouloir tout lui dévoiler ,, tout lui dire : de ces chaos d'antan, quand à présent tout en semblait bien trop beau sans doute. ensorcelé ! de quelques regards, de quelques affections, à ne jamais en demander plus, quand il pouvait en calmer ces fureurs qui en devenaient poisons pour lui même. et Sia, en avais-tu vu, ces étoiles dans les yeux ? quand d'une voix résonnant, quand de quelques touchers, il voudrait s'y réfugier, là, contre elle ,, pour oublier le monde. juste eux : comme deux enfants. "I'm glad then. 'cause that's all I want.", la rendre heureuse ! en voir ses sourires. combler les absences par lui qui en était bien trop attaché. et qui peut-être un jour finirait-il par l'aimer sans ne plus penser à rien. juste elle ,, face à lui : cadeau des cieux ! pour lui offrir rédemption. lui ,, bougie sans flamme, à chanceler en permanence, s'éteindre sans âme.
Sia ,, seule figure :
à garder au chaud ,,
les peaux frigides.
la capturer ! serrer ses bras, épouser ses épidermes , d'un cou à sa merci, quand il en aimait les douceurs des étreintes qui venaient en rassurer les corps bien trop épris. venir tenir ses doigts dans les siens comme presque première fois, quand les anxiétés n'étaient plus, face à elle. joyaux intimes ,, à lui offrir là son plus grand secret, quand depuis si longtemps il n'y avait senti aucune chaleur contre ces doigts toujours dissimulés. "You're really...the only one, you know ? How come that you're that perfect, Kurenai Sia ?" venir l'accueillir contre lui, caler sa tête contre la sienne, embrasser son épaule : comme pour lui montrer ô combien elle en était précieuse. y sentir quelques baisers ! là ,, où jamais il n'en aurait pensé les douceurs. ne plus bouger : par peur d'en effrayer l'oisillon recueilli contre son corps. "How lucky am I ?", murmuré là, comme promesse de ne jamais en lâcher les doigts, quand à présent il ne voudrait que les tenir en permanence.

l'aimer elle :
de ces confessions ,,
à en toucher :
les myocardes.

et de son front contre le sien, à ne pouvoir que la contempler, il en graverait les amours ,, contre ses peaux. "It can. Who say I was gonna go somewhere tonight ? I'm staying with you.", qu'il se mit tout doucement à sourire, à embrasser son visage quand les bras s'enroulèrent encore plus autour d'elle. embrasser tout doucement le coin de ses yeux, glisser sa joue contre sa tempe, quand il en bercerait tout doucement les corps. "Should I take you to sleep ? I'll take all your tiredness...so rely on me...just for the night hmm ?", délicatesse, au creux des tympans. promesse : d'en apaiser les tourments. "Don't think about anything...." et ô peut-être que les démons viendraient en faire s'éteindre chacune de ses anxiétés.
à la bercer de baisers ,,
offrir caresses :
pour lui en offrir
Andromède.

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Nymphe qui se glisse dans ses bras, elle se fait douce, elle se fait amoureuse quand elle laisse les étreintes réchauffer la peau fatiguée d'un acharnement qu'elle ne sait pas faire cesser dans sa tête, où tout se répète, encore et encore. Elle est amoureuse, pourrait tout lui dédier, tant qu'il est là, à ses côtés, quand qu'il continue d'exister dans cette même temporalité. Elle s'est laissée charmer, il y a bien longtemps, n'a jamais réellement résisté quand elle s'agissait de lui, être trop spécial à en faire battre son coeur, fort, si fort qu'il pourrait briser sa poitrine, qu'on pourrait l'entendre à l'autre bout du monde, et elle n'en aurait jamais honte ! Acclamer les sentiments sur les toits du monde, pour que tout le monde sache, qu'il n'est qu'à elle. Qu'elle n'est qu'à lui, quand elle se sent si bien là où leur chaleur vient se mélanger, là où les corps se reposent, laissant les mains se lier, les bras s'accrocher sans jamais se dire au revoir.
Elle lui laisse tout ce qu'il désir, tout ce qu'il veut, là dans le creux de ses bras,
Accueillant les baisers contre son cou,
Contre la peau encore laiteuse,
Elle se fait douce, docile presque quand elle n'a toujours été que sauvage, désireuse de beaucoup trop de libertés dans le creux de ses paumes, dans son coeur qui hurlait pour fuir ! Fuir loin de ces appartenances. I’m not that perfect, you know. It’s because you love me, maybe. La tête se tourne pour déposer un baiser sur le haut de son front, gardant ses mains au fond contre sa poitrine, quand ses doigts viennent les caresser, frôlant la peau abîmée sans jamais s'en soucier, sans même en prendre peur. I love them, you know. Your hands. Don’t be ashamed in front of me. Elle le murmure tout bas, son front contre le sien, une de main vient quitter les siennes alors qu'elle se poser sur sa joue, la caressant de son pouce, doigts fins, argentés, ils ne méritent que l'or et les plus beaux joyaux. Good. Parce qu'elle se sent bien contre lui, elle ne veut pas qu'il s'envole, qui finisse par l'abandonner quand elle serait pour toujours ivre de chacun de ses mots, de ses gestes, de ses baisers contre sa peau ; elle l'aime, d'un amour qu'elle ne pourra jamais expliquer. Son corps le quitte un instant,
Se retourne pour se glisser de nouveau contre lui, à califourchon sur ses jambes alors que ses mains glissent sur ses épaules, sourires qui courbe avec délicatesse ses lèvres. No, Im good here. Ses lèvres retrouvent les siennes, dansent dans une valse qu'elle ne voudrait jamais cesser, pourtant le souffle arrive vite à manquer, quand elle a du mal à s'en séparer, son front se colle de nouveau au sien. I love you, Ailin. Elle le murmure, comme si c'était un secret, tabou aux tympans des cieux. Et ses pulpeuses dérivent contre sa mâchoire qu'elle redessine avec douceur, vient mordre avec délicatesse, avant d'en attaquer son cou, s'enivrant de sa chaleur, de son odeur, ses doigts qui se glissent sur sa nuque,
Il n'est qu'à elle.

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et les nénuphars
naviguent sur le Styx ,,
embellissent les endroits :
à pleuvoir les étoiles.  
car contre sa peau, il y voyait beauté fragile ,, à venir se risquer d'en briser chacun des traits de ses touchers ; parcourir les épidermes de baisers somptueux. car elle en était muse, Sia , Reine d'un univers : où il pourrait tout lui donner. d'un cœur abîmé, aux sentiments en fleurs. à aimer tout d'elle, quand jamais n'aurait-il cru en aimer autant les présences (( elle en était seule ,, dans les myocardes. )) de ces papillons, qui arrivaient à s'en poser contre elle : au creux de sa nuque, ils en effleuraient les merveilles, contre son épaule ils en dévoilaient les amours. c'est qu'il en serait presque jaloux d'eux , à vouloir tout lui offrir à son tour, celui qui en aimait chaque partie d'elle comme si elle en avait volé une partie de lui.

à tout lui donner,
de ce qu'il était :
comète en perdition.

offrir aux doigts contacts tant recherchés , quand Ailin en avait toujours rêvé d'en sentir chaleur contre les siens. "hmm maybe...but that's okay. I found you perfect as you are, and I'm in love. I can't be...objective maybe.", à n'y trouver là qu'inspiration dans son regard, à ne pouvoir même jamais y décompter les astres y habitant. et scintillaient-ils, dès qu'elle posait les yeux sur lui ? quand les baisers conservés, venaient en faire sourire les visages ,,  à serrer tout doucement ses mains, quand il en resserrait ses bras autour d'elle. "I won't ever be I think...ashamed of them in front of you...", murmuré là comme promesse à lui-même : de lui en montrer le meilleur de lui-même. main à épouser son visage, et il ne ferait que la regarder un peu plus.
d'un visage tourné :
d'un corps à venir lui faire face ,,
pour en faire rêver les regards.
rester : quand il ne pourra jamais la laisser partir. venir glisser ses doigts autour de sa taille, les remonter dans son dos, quand il en viendrait à sourire contre ses lèvres. à danser ,, jusqu'à ce que minuit ne trépasse. "yeah. I'm too. don't wanna move now, how bad." quand à ne plus en quitter les lèvres il viendrait en épouser les pulsants ! faire battre veines, quand il ne veut jamais la voir disparaître de contre lui, Sia ((car elle en était sa passion à lui.)) "so do I. I can't stop thinking of you." lui laisser là propriété d'un corps ,, quand elle viendrait en redessiner beauté contre sa mâchoire jusqu'à son cou.

miracle !

quand les doigts s'en prendraient au jeu, à venir effleurer tout doucement son dos, glisser contre les peaux, derrière les tissus, à retracer les courbes, quand tout s'agitait de ces exquis parfums. à tout doucement venir retirer le haut de sa Rein ,, resserrer les étreintes : quand les proximités n'en étaient jamais suffisantes. et c'est lui ,, qui viendrait en épouser les clavicules, redessiner le bout de ses épaules ; le haut de ses seins, quand déesse en avait capturé le cœur de celui bien trop faible pour résister. "guess I don't wanna sleep too...", murmuré contre les peaux, à relever le regard vers elle quand les sourires en embellissait les visages. "you're really pretty, Sia.", comme une envie de ne vouloir la garder que pour elle ,, en montrer ses beautés que pour lui ; garder secret les merveilles qu'elle en représentait à ses yeux.
car elle était son tout ,,
unique âme :
qui en faisait chanceler
la sienne.

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Comme ruisseau qui s'écoule le long des montagnes, glisse contre les roches pour en récolter les goutes encore gelées des glaciers. Le printemps approche, lentement, silencieusement, dans les coeurs, attendant avec passion que le soleil revienne rayonner derrière les pointes nordiques, pour en retrouver l'espoir d'autrefois, d'antan. Entre ses bras se cachent les trésors de son univers, les amours longtemps inavoués jusqu'à la nuit des amoureux où serment s'est proclamé dans les cieux ! De le chérir même si les sentiments finissent par s'envoler. De l'aimer, même lorsque la faucheuse sonnera à sa porte pour en raconter corps inanimé. Elle se le jure, à travers ses propres valeurs et convictions. A s'oublier parfois un peu trop quand toutes ses pensées lui seront à jamais dédiées. Il vient soulever de ses épaules, les poids qui pèsent sur les siennes, comme pour la soulager, lui redonner cette divinité d'antan, quand elle sent que tout n'est que trop fade contre sa peau, dans son coeur.
Les fleurs paraissent plus belles, lorsqu'elle se trouve dans ses bras, qu'elle en caresse ses mains et ses paumes qui valsent contre les siennes pour s'unir. Et elle pourrait rester ici toute sa vie, parce qu'elle se sait en sécurité, elle se sait là où personne ne pourra jamais plus l'atteindre ! Sourires à en dévorer ses mots, et elle le laisse gagner toutes les batailles, parce qu'elle veut le couvrir, ce roi, de tous les joyaux du monde, de toutes les émotions qui traversent son coeur et sa peau, pulsent dans ses veines ! Good, don't stop... Murmuré contre ses lèvres alors que ses doigts glissent avec légèreté contre sa peau, alors que le tissu est soulevé, rapidement retiré, à le laisser la dévorer entièrement, quand l'échine se cambre avec douceur, et que ses doigts se perdent dans sa chevelure. Soupirs qui s'extirpe avec légèreté, alors que les baisers se déposent sur le dessus de sa tête. Ses mains se déposent avec douceur autour de ses joues, pouce qui en caresse ses lèvres. Just like you. Murmuré quand elle vient de nouveau s'emparer de leurs jumelles, langues qui tanguent, s'épousent avant de se quitter dans une certainement mélancolie. Phalanges d'argent qui glissent contre son torse jusqu'à en relever le tissu pour qu'il s'envole de sa peau. Amour que l'on dépose contre ses épaules, en dérive avec délicatesse sur le haut de son torse, les bras s'enroulent autour de lui, alors que ses lèvres reviennent marquer la fine peau de son peau, hanchent qui bougent lentement contre lui ;
Pour en charmer tous les désirs.

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