(+18) Can't control myself ♡ Ailin

miracle parmi tant d'autres, à éblouir les regards quand la belle en était déesse qu'il était la seule à vénérer. en faire Reine d'un autre monde ! là où personne ne pourrait venir en cracher venin sur les peaux, que lui viendrait recolorer de couleurs. se fondre là où les chaleurs l'appelaient, là où les réconforts se retrouvaient ,, à espérer juste un peu lui en offrir, à elle aussi : quand plus rien ne tournait rond, quand tout en semblait plus que dérisoire à présent. ô monstre des nuits qui avait toqué à leur porte comme pour les effrayer ; il en avait barricadé tout un monde d'épine pour protéger les coeurs ! qu'elle seule avait le droit de réduire en cendre. et peut-être que les potions en loueraient louanges de ses méfaits ,, à savoir en transformer les amours comme épopées.
quand Sia :
n'était que merveille ,,
à ses yeux.
c'est qu'il viendrait la couvrir d'or, coller constellations contre sa peau comme pour en justifier de l'admirer en permanence : quand elle en était déjà l'un des trésors les plus sublimes. car les yeux brillaient toujours à se poser sur elle, détailler chacun de ses traits, quand il pouvait en épouser les corps. sourire contre elle, à venir en découvrir les peaux, effleurer les courbes ,, quand à toujours se retrouver, les lippes ne s'en quittaient plus. à valser ! s'imprégner de quelques parfums, laisser leurs langues s'épouser quand les mains n'en quittaient plus les hanches. glissent les doigts sur elle, quelques soupirs délaissés à chacun de ses touchers quand de quelques sourires : il y voyait tentations des plus destructrices ,, à coller sa peau nue contre la sienne. "you kind of...tempting me to much sweety.", d'une main relevée, pour dégager ses cheveux de sa nuque, embrasser sa peau pour en laisser trace de son passage ,, à la rapprocher de ses bras de son bassin : comme obsession.

"what should I do with you hmm ?", de quelques murmures, quand d'un souffle il en venait épouser avec délicatesse sa poitrine, à s'y blottir de chaleur quand les yeux s'en fermaient finement pour profiter de sa douceur. car il en était charmé ,, de quelques rougeurs contre ses joues, à en sentir excitations sublimées ! de quelques cieux où les mains ne pourraient en atteindre que les aurores. pression sur le bas de son dos, à retracer d'un doigt la courbe de son échine, il viendrait y dessiner étoiles contre ses seins, contre ses côtes, à vouloir tout aimer, sans attendre. baisers mortels, à revenir retrouver ses lippes un instant comme pour venir en reprendre bouffée d'air. glisser deux doigts contre l'une de ses cuisses : pour la regarder dans ses yeux. "can I ?", d'un baiser contre sa temps, à glisser contre son oreille ((pour y glisser tous ses secrets.))

---

Elle l'a désiré, ces nuits et ces jours, sans jamais pouvoir tenir son coeur entre ses paumes. Elle l'a souhaité à ses côtés, comme ami, comme amant, comme amoureux quand les sentiments n'arrivaient pas à s'offrir à lui. Et il était le seul à rayonner, parmi tous les autres. Différent, quand il n'essayait pas de l'attraper, quand il n'essayait pas de la dévorer juste pour une seule nuit. Il l'a toujours été, différent. Et c'est pour ça que son coeur en a dédicacé chacun de ses battements. En a gravé son nom contre la porcelaine de sa peau, à chaque regard offert, chaque main frôlée, elle en voulait plus, sans jamais venir le réclamer. Elle était sage, patiente, quand le battant se serrer à le savoir vers des ailleurs loin d'elle. Quand elle l'imaginait regarder d'autres courbes, d'autres visages. Et j'avais peur que tu l'aimes, lui. Plus que moi.7
Alors elle vient le couronner, d'or, de joyaux,
Des merveilles d'anciennes civilisations ;
Ô roi de tout son monde.
Elle en confessera son amour devant les dieux, devant bien des empereurs, son coeur n'appartient qu'à lui, aujourd'hui comme demain. Ne le cèdera jamais à personne. Parce qu'elle reste une femme égoïste, une femme trop amoureuse pour le laisser partir. Baisers à en couvrir les peaux, c'est ainsi qu'elle le fait sien, qu'elle se fera sienne dans ses bras, encore une fois cette nuit. C'est ainsi qu'elle brille le plus Sia, quand il pose son regard contre elle, souffle à en faire frissonner les échines. Elle l'aime, et ne pourra jamais s'empêcher de l'aimer encore plus. Do whatever you want, I’m all yours. Murmuré contre ses lèvres alors que ses doigts retracent les courbes de ses épaules, se glissent jusqu'à son torse, quand ses lèvres viennent retrouver son cou pour le marquer de quelques rougeurs, d'une appartenance des plus délicieuses. Mais elle est sienne, et elle le sait. Quand il sait comment tout réveiller en elle, des soupirs, aux gémissements étouffés contre lui, quand il se fait traitre contre sa poitrine, quand elle sent ses mains contre ses hanches, dans son dos. Il sait ce qu'elle aime, il sait à quel point elle l'aime. Hm. Hochement de tête quand elle lui en donne l'autorisation, d'en découvrir un peu plus, de ses lèvres qui ne lâchent pas ses siennes, elle vient les mordre avec douceur, elle vient les dévorer, de laisser dévorer de leur saveur un peu sucrée. Mains tentatrices, à se glisser jusqu'aux frontières de son pantalon, quand elle se glisse à son tour contre les tissus, en caressant les peaux, de sa main libre qui s'accroche à sa chevelure, ses lèvres qui ne cessent pas d'épouser les siennes, comme si c'était leur dernière fois, leur dernière nuit ensemble. Elle voudrait que tout soit infini ;
Eux et leur amour.

---

Orphée l'avait béni ,,
de ses mythes si sublime :
à faire se reposer les cœurs.
battent les pulsants terrifiés d'en blesser les amours. ô il voudrait sombrer encore et encore, à ne penser qu'à faire rayonner les beautés de tout un corps, de toute une vie, celui qui en sacrerait là muse pour la déposer sur un piédestal : car elle en était merveille du monde, celle qu'il voulait couvrir de fleurs. venir en épouser chaque fragment d'elle, bercer les peurs et embrasser les amours, quand d'elle : il voulait tout enlacer, garder pour lui les douceurs, sans ne jamais plus les laisser s'enfuir. et Sia brillait un peu trop, pour lui, alors qu'il n'était qu'étoile un peu trop lointaine, l'une de celle qui viendrait exploser quand laissée un peu trop seule. ((oubliée)) sans ne jamais rayonner, lui. mais avec elle, il y avait un tout nouveau monde, où les espoirs s'insinuaient dans les poumons pour vouloir le faire vivre un peu plus. c'est qu'elle en était tout ce qu'il avait, enfant à gracier de ses baisers, offrir chaleurs et réconforts entre ses bras pour simplement en devenir refuge lui même.

alors il graverait
promesses éternelles :
contre sa peau.

à l'aimer qu'importe le prix ,, quand il viendrait se perdre, mourir petit à petit, sans ces affections qui en faisaient fleurir les regards. car elles brillent, dans ses regards, celles qui en parsemaient les cieux juste pour elle. que les mots en semblaient si vagues, à faire sourire les lèvres contre sa peau : lui qui n'en était que douceur, pour lui dire ô à quel point il l'aimait. "understood." s'accrocher à ses lèvres ! venir y consacrer toute son attention ,, de baisers à venir les rendre tous sacrés, sucre sur les lèvres qu'il ne voulait plus délaisser. de ces doigts à en tenter les précipices, téméraires soupirs à s'affaiblir contre les lippes de la plus douce ; ô il en laisserait ses mains se glisser contre elle, venir jouer de quelques touchers pour ne jamais la laisser partir. alors il en épouserait ses lèvres comme elle le faisait, à ne pas vouloir les quitter, quand les mains ne feraient que lui en offrir plaisir. s'étouffer contre son corps !
et mourir :
pour en voir
chacun de ses sourires.
de tissus évincés, à tout retirer ! profiter des chaleurs des peaux contre les siennes. ô supplices si délicats, à infliger comme d'un naturel, quand il n'y avait qu'avec elle : que tout semblait si beau. à en faire valser les pulpeuses, glisser ses mains contre déesse à chérir, ô il n'y aurait plus qu'à venir enlacer les corps : comme simple promesse de toujours l'aimer. car il n'y avait que toi, Sia. effleurer les intimités comme confessions sublimées ,, laisser les douceurs s'emparer de chacun des gestes pour en posséder les esprits. ((ne penser qu'à elle.)) "I want you...Sia.", à murmurer au creux de ses lèvres, sourire finement comme pour en jeter sors ! quand un bras finirait par se retrouver de nouveau autour d'elle, à juste la serrer contre lui comme pour se réfugier contre ses parfums. caresser son épiderme, profiter de ses douceurs, embrasser chaque sillon de sa peau !
et aujourd'hui :
il n'y aurait qu'eux ,,
à effleurer les cieux.

---