EVENT; ❝ crépuscule

— GOLDEN WEEK: CRÉPUSCULE
outfit + des gants jaunes assortis à son haut.

« no… » qu'elle commence faiblement en réaction aux multiples accusations contre akira, comme incapable de parler plus fort. « he would never do something like this » qu'elle continue, et à chaque syllabe le son se fait plus audible, va étonnement crescendo, tandis que les visages autour d'elle se peignent d'angoisse et que la lumière disparaît et elle n'arrive plus à respirer et elle est heurtée que l'on accuse quelqu'un qu'elle aime et en qui elle a une confiance aveugle et- « STOP IT ! » l'étrange trop-plein se solde par ses mains qu'elle plaque sur ses oreilles et ses yeux fermés avec brutalité — en fond, l'impression d'entendre le rire moqueur de sonoe lui dire : weirdo!

lorsqu'elle rouvre les paupières, il n'y a plus que pandore qu'elle voit, elle ne sait pas pourquoi. et la valise se débat, se débat et se débat. aucun sort ne fonctionne. alors elle pose sa main gantée sur le sac en même temps qu'atlas pose sa main gantée sur le sac. « i think we should… destroy this thing. — no. » le ton est sans appel et constraste avec la fille qu'elle est habituellement. « i wanna know what's inside. » ils se regardent, tous les trois, mais elle ne peut pas combattre cette curiosité maladive, ce besoin dément de savoir (et qu'on ne me cache plus rien ! et qu'on ne me mente plus !). et la résolution se voit dans ses yeux. « let me try something » qu'elle demande finalement, et lentement elle retire le gant jaune qui cache sa main gauche, doigt après doigt. entre hensokus. entre putains d'hensokus du gouvernement. les veines noires pulsent au contact du bagage, sans qu'elle ne sache les résultats qu'elle aura — si elle aura un quelconque effet sur whatever is inside (est-ce vivant ?) ; si elle pourra empoisonner ce qui est à l'intérieur pour calmer les mouvements fous et qu'ils puissent ouvrir ; s'il ne se passera rien ; si elle fait l'énième erreur de sa vie.

❝ résumé,, mal est grave soulée que son ex (@sawano akira) soit accusé donc elle le défend mais, comme elle est seule, au passage elle vrille un peu (quoi c la panique ok). puis elle aide @pandore águilar à maîtriser le bagage et s'oppose à @atlas deus-felis (est-ce aussi une vengeance pcq il ne lui parle plus… ? peut-être mais je n'avais pas assez de mots .). puis elle tente d'empoisonner à petite dose le truc qui est dans le bagage afin de genre l'endormir mais sans savoir 1) si elle maîtrise assez son hensoku capricieux, 2) si c'est vivant et 3) si elle pourrait avoir un effet dessus s'il s'agit d'un objet ensorcelé par ex. bref elle est en mode let's go à l'aveuglette et voyons si tout le monde meurt à cause de moi………………

— HOW 'BOUT WE TAKE A LITTLE BIT OF TIME AWAY?
portkeys station, april 29th ;; [ outfit ]
Akira se retourne lorsqu’il se sent interpelé. Regards de méfiance posés sur lui, qui le scrutent comme un coupable. « What you say ? » Lorsqu’un voyageur le désigne d’un doigt accusateur, son sang ne fait qu’un tour. Mâchoire serrée il s’approche, délaisse Himari pour répondre au vacarme. « I didn’t do shit except trying open the damn door. » Mais les remontrances enflent, s’accumulent, et Akira sent la colère fourmiller dans son torse. « Shut your lying ass. » il renchérit, et la tension monte quand il n’est qu’à quelques centimètres du voyageur. « STOP IT ! » La voix de Mal résonne dans la gare et Akira la cherche dans la foule, soudain détourné de ses instincts primaires. She’s here ? Mais avant que ses yeux n’aient pu la trouver, la gare est plongée dans le noir, comme bousculée par un ciel détraqué, égaré. « Akira ? » Cette fois c’est Pandore qu’il entend, peur dans la voix, et Akira fait quelques pas dans sa direction, en oublie qu’il voulait décoller une tarte à l’autre ahuri. D’un geste précipité, il allume la lampe torche de son téléphone, à défaut d’un Lumos. « HEY, ASSHOLE ! » Yeux éblouis par l’éclat renvoyé par Mars, il s’arrête. « WHAT YOU HAG WANT ? » - « STOP MESSING WITH THE DOOR AND COME BACK ! » - « FUCK YOU, I DIDN’T- il s’énerve, YOU COME HERE WITH MY BOY, THE EXIT ‘THIS WAY ! » Et il n’en démord pas, faisant signe à Seiya de rappliquer. Pourtant il décale lui-même, revient sur ses pas quand il entend un employé de la gare parler à Himari. « Why can’t we try to open the door instead of the windows ?? IDK it’s like, more close to the ground ?? Don’t you have a key or some spell ? » Ça l’gonfle. Et pourquoi il fait nuit, bordel.

❝ résumé,, grrr il est full colère de se faire ainsi accuser. il va pour démarrer le voyageur qui l'a désigné coupable, mais s'arrête en entendant la voix de Mal. Il cherche Pandore dans le dark, mais entre temps y'a Mars qui le provoque, alors il provoc back, lui demande de lâcher son bro, ou de le ramener as she wants, pcq meuf la sortie c la porte, ok ?? donc il reste dans cette zone et retourne discuter avec l'employer de la gare qui suggère d'ouvrir les fenêtres, mais lui il est québlo sur la porte, gnhéé. et g pas assez de mots, donc je reposterai later tqt

— HOW 'BOUT WE TAKE A LITTLE BIT OF TIME AWAY?
portkeys station, april 29th ;;
noe émerge de la foule, retrouvailles prévues en amont pour un voyage qui tarde plus qu'il ne devrait. courte étreinte couplée d'un hey you ! enjoué, puis le sourire s'étiole. non, impossible de capter quoi que ce soit, elle confirme, tandis que le bagage inconnu valse plus loin. it could have... exploded... mine perplexe de blue. why on earth would it- ? … anyway. elle adresse à la jeune femme un petit sourire qui tente de ne pas trop dire you're weird ; revient à l'important. c'est quand même fou de manquer de réseau en 2021. les problèmes de communication sont pourtant rares dans le monde sorcier.

parcelles d'anomalies s'accumulent. néons crépitent ; gare s'affole de tous côtés. et soudain, la pénombre.

mais qu'est-ce qui se passe ici ? sous sa peau les ombres s'agitent avec plus d'intensité, picotant l'épiderme ; elle se heurte à quelqu'un. sorry- oh ! noe. soulagement. essayons de ne pas nous perdre… elle lui prend la main, incante un lumos. C’est à vous ? rapide coup d'œil. non. polie, d'abord. vous étiez assises là non ? le ton la percute à retardement. elle tombe des nues. sa main libre s'ancre sur sa taille en une posture agacée. sérieusement ? des regards partiellement éclairés par les sorts se tournent vers les filles par dizaines, demi-visages accusateurs que les ténèbres privent du reste de leur corps. peut-être qu'elle est à vous et que vous nous accusez pour vous couvrir ? ou que le sorcier là-bas a seulement prétendu la découvrir. doute semé chez les uns, mais les débats s'amplifient en grondement méfiant, énervé. on n'a qu'à voir à quoi elle a servi. et dirigeant sa paume vers la baguette, blue énonce : prior incanto !

❝ résumé,, blue accueille @Uotani Sonoe, répond à ses questions et tombes des nues deux secondes au trauma très moldu de @Yokoi Himari… elle s'agace pour le réseau, puis s'échauffe à la question de @Kell Brekker et lui retourne l'accusation. les gens montent progressivement en pression alors elle décide de vérifier comment la baguette du litige a été utilisée.  

— GOLDEN WEEK: CRÉPUSCULE
outfit

Elle n’a qu’à peine le temps de réfléchir à sa propre question que déjà Kell réagit et resserre sa prise sur ses doigts. Instinctivement, Nae se rapproche de lui. Lorsqu’il lui dit de le suivre, elle acquiesce sans un mot. La panique trace son chemin et l’imagination de la mizu se met en marche. Elle sent le corps de son ami se tendre et le sien ne peut que répéter cette tension, liée à la peur. Puis, la pénombre s’installe et de sa main libre elle n’a même pas le réflexe de chercher sa baguette, se contentant de saisir le bras de son chevalier. « Ne me lâche pas » murmure-t-elle au bord des larmes, comme s’il était possible que l’idée traverse l’esprit de Kell.

Il l’entraîne ensuite vers un banc, vers ce qu’elle distingue rapidement comme une baguette délaissée et elle comprend trop vite les intentions de son ami. « Ne la touche pas ! » ordonne-t-elle. Trop tard. Kell est trop terre à terre, à demander aux autres si la baguette leur appartient.

Du regard, Nae balais l’espace qu’elle ne peut que distinguer. Elle a l’impression d’être coincée, que son corps est compressé dans un étau qui se resserre. « Ils n’arrivent pas à ouvrir » dit-elle alors, plus pour elle que pour ceux qui se tiennent à ses côtés. « Je ne sais pas si c’est une bonne idée » reprend-elle à l’attention de Blue. Il est cependant déjà trop tard. Nae a l’impression de tout vivre en retard, comme si son organisme était ralenti lorsque l’agitation semble plus pressante que jamais.



❝ résumé,, Nae ne sert pas à grand chose. Elle panique et se sent mal. Elle reste collé à  @Kell Brekker et attend de voir la révélation du sort de  @Blue Odair  

— HOW 'BOUT WE TAKE A LITTLE BIT OF TIME AWAY?
portkeys station, april 29th ;; [ outfit ]
« great. » sonoe affiche une mine dépitée à la confirmation de blue ; le réseau a disparu. l’évènement est assez étrange pour être noté, après tout – ce n’est pas comme s’il existait des pannes de magie. « it could have... exploded… » la remarque est accueillie par un sourcil haussé, mais elle ne renchérit pas. en quelques secondes, la tension sous-jacente monte crescendo. son attention est happée par des cris, les horaires se mélangent, avancent et reculent en même temps (elle ne se souvient plus) et noe ne comprend pas ce qu’il se passe, angoisse. « STOP IT ! » son visage se tourne brusquement vers le hurlement, provenant d’un autre coin de la gare. la voix est reconnaissable entre mille et lui glace le cœur malgré tout ; elle se prend à faire quelques pas vers elle (mal), coincée entre appréhension et besoin de venir en aide à celle qui fut l’une de ses amies, un jour.

elle n’en aura pas le temps, alors que les visages sont repeints de noir et que ses yeux la perdent de vue dans les ténèbres.

« what the hell ?? » panique ; ses pupilles cherchent ce qu’elle ne peut pas voir et quelqu’un lui rentre dedans. ses doigts fins tâtent les épaules de la personne, comme si la manœuvre lui servirait à la reconnaître. « oh merlin, blue- honey. » aux mots de cette dernière, elle acquiesce, avant de se rendre compte de sa bêtise – « yeah, you’re right. » elle s’empare de sa main. et d’un coup, les accusations fusent – mieux vaut dénicher un coupable que de trouver des solutions ; classic. le bout de sa baguette s’illumine bientôt d’un lumos informulé, et elle fixe sévèrement les accusateurs. blue évoque une idée ; une fille brune (nae) s’y oppose. « and why not ? your friend is literally making accusations based on nothing and we’re supposed to accept that ? come on. » rire nerveux. « what do you have to hide ? »


❝ résumé,, sonoe panique unpeu, s'inquiète pour @mal savage quand sa voit transperce la gare et se retrouve plongée dans le noir aux côtés de @blue odair. elle se vénère fasse aux accusations des gens, et les redirige vers @nae ikinori, ni vu ni connu.

— HOW 'BOUT WE TAKE A LITTLE BIT OF TIME AWAY?
portkeys station, april 29th ;;

les mains séchées par un sort qu'elle murmure à peine, sadae est soudainement plongée dans le noir complet puis couverte par les bruits d'incompréhension qui sortent des bouches des femmes qui l'entourent dans les toilettes publiques de la gare. la panne de courant rapidement appréhendée, ses sourcils se froncent lorsqu'elle capte le crépitement des néons, claquant par accoups - ce n'est rien, qu'elle essaie de se persuader sous le poids de l'appréhension qui commence à peser sur sa poitrine.

elle tente de se faufiler dans le couloir pour rejoindre le hall et ses amies, sad, mais se fait percuter par un homme dont la capuche sur le crâne couplée à la pénombre ambiante ne lui permet pas d'entrevoir son visage. pourtant, elle continue son chemin, cherche tant bien que mal ara et noe qu'elle a laissées quelques minutes auparavant. sa baguette en main, éclairée par un lumos, elle attrape son téléphone, dans l'espoir d'y trouver une notification d'une des filles lui disant où elles se trouvent mais rien. rien qu'un néant cellulaire qui git entre ses doigts. ce n'est rien, qu'elle s'obstine à penser mais l'atmosphère semble si étrange, elle sent la tension monter, se propager entre tous ceux qui l'entourent sans en comprendre la source mais, enfin, elle retrouve sonoe, accompagnée d'autres personnes (blue et kell), là, où le ton est déjà monté. "what the hell's going on?"

❝ résumé,, sad était aux toilettes quand la lumière ne fut plus du coup, elle veut rejoindre @adora nomura et @uotani sonoe mais un boug mystérieux lui rentre dedans avant qu'elle réussisse à retrouver le petit groupe où ça commence à partir en cacahuètes (avec @blue odair et @kell brekker) sans rien comprendre à ce qu'il se passe.

— HOW 'BOUT WE TAKE A LITTLE BIT OF TIME AWAY?
portkeys station, april 29th ;;

peut-être que l'étreinte lui a fait gagner quelques secondes avant de perdre totalement pieds, peut-être que ça a suffi pour qu'il suive mars jusqu'à akira sans qu'il ne s'effondre entre deux ((sans même qu'il ne relève ses aboiements sur son ami)). le lumos de sa baguette les guide et la conversation entre l'employé de la gare et les autres semble lui redonner un peu d'espoir. "don't you have like... emergency exits in that station?" les mots tombent dans sa gorge comme une évidence effarante. "i mean, maybe it's nothing but i think we should find a way out before everyone goes crazy." parce que les voix s'élèvent, les accusations fusent et il y a tant de monde autour que seiya en a presque la tête qui tourne alors, il tente de convaincre lui aussi l'employé pour qu'il se décide à les aider. "if you don't help us to go out and we can't open the doors, i swear i won't kick them but use a bombarda instead." parce qu'il commence déjà à perdre patience.

❝ résumé,, sei tente de reprendre ses esprits en suivant @mars vermeer et de trouver une solution sans avoir à toucher au temps alors il demande à l'employé qui discutait avec @sawano akira et @yokoi himari s'il y a des portes de secours mais le boug perd un peu patience et risque de faire exploser les portes si l'autre les aide pas

— GOLDEN WEEK: CRÉPUSCULE
outfit
Atlas – 12:00 (à l'heure) :

Gorge bloquée, ployée parmi les efforts d'ouvrir une valise qui ne cède pas. Lorsque Malicia s'interpose, les sourcils se froncent et il n'a pas le temps de l'en empêcher. "Wait, it could be-" le danger s'étouffe lorsque la suie sous les doigts se révèle, et au fond du crâne des étincelles qui reviennent, effacées par les éclairs d'oubliettes amères. Comme s'il était l'anomalie. Un pas de recul, mais ça ne suffit pas.
La valise s'ouvre avec fracas, et les créatures sortent. Il a la tête qui tourne et à peine le temps de fuir, le poignet de Pandore saisit dans sa chute, baguette brandie. La forme encore floue, il voit l'épouvantard se former devant ses yeux-panique.

option 1/ succès : atlas réussit le ridikulus avant même que l'épouvantard ne se forme, il est si violent que ce dernier est projeté contre un autre élève. (toi ?)
option 2/ échec : l'épouvantard le target lui, et prend la forme d'un inferi impressionnant qui se jette sur lui et envoie sa baguette valser au loin. il va avoir besoin qu'on le sauve. (propose-toi stp)

Grandeur presque décadente, le corps pourtant si vivant a les yeux d'un vert profond. Ses griffes sont acérées lorsqu'il se jette sur Atlas, qui bascule et laisse tomber sa baguette sur le sol. Tente de se débattre, l'Inferi pousse un cri strident. Il est en mauvaise posture.


❝ résumé,, Atlas bataille avec la valise en compagnie de sa go   @Pandore Águilar mais  @Mal Savage arrive et retire ses gants, il voit qu'elle a aussi les doigts noirs et part un peu en breakdown (des souvenirs flous reviennent). Lorsque les créatures s'échappent, il essaye de réagir.