EVENT; ❝ crépuscule

— GOLDEN WEEK: CRÉPUSCULE
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12:08 // en avance

Son coeur s’était fracturé. Ses sens de Turner étaient atrocement affutés, lui faisant ressentir chaque fêlure, chaque fracture dans le cours du temps – et le futur ressemblait à ce rêve qu’elle avait toujours eu, à cette prémonition qui ne l’avait jamais quittée.

((l’écroulement du temps.))

Mars hurla de douleur.
Sa poitrine était dévorée par la peur et le temps qui prenait toute. la. place. ; ses yeux ne s’accrochèrent qu’à Seiya, dont les traits étaient déformés par le refus du temps de les laisser évoluer sur la même timeline.

Elle se projeta dans le temps.

12:03 // en avance

Elle dansait souvent avec les secondes, Mars, et elle était persuadée qu’un jour elle devrait en payer le prix. Pourtant, jamais elle n’avait imaginé que cela pouvait être si douloureux de se propulser dans un temps trop abîmé pour vouloir d'elle.

Lorsque ses mains touchèrent finalement celles de Seiya – dans la bonne timeline, enfin – une décharge parcourut son corps. Son esprit d’ekisha réclamait de revenir là où le futur était possible, son corps de turner voulait repartir encore plus loin pour tout réparer, car le temps souffrait et elle avec. Les phalanges blanchies par la douleur, crispées sur celles de Seiya, la phrase ((vérité)) s’échappa de là où elle avait été dissimulée : « it’s all my fault. » Mais la panique était trop forte. « STOP ! » ((que tout s’arrête, que tout se répare, pitié, pitié, pitié.)) Les secondes ralentirent dans la gare; le zouwu se figea; la tenaga babâ s’arrêta au milieu d’une phrase.

Mais le temps était trop fracturé pour obéir, alors il explosa entre ses doigts – projetée en arrière, elle eut à peine le temps de voir le zouwu recommencer à bouger avant d’heurter le sol.

❝ résumé,, Mars panique panique panique car elle est persuadée que tout est de sa faute (c fo of course), repart en arrière pour rejoindre @Karani Seiya dans sa timeline, arrête brièvement le temps avant que ça ne se retourne contre elle : il explose entre ses doigts et la projette au sol. @Karani Seiya, @Sawano Akira & @Yokoi Himari sont à portée de l'explosion (jvous laisse choisir si ça vous atteint ou pas ) (sauf Seiya vu qu'il lui tient les mains ptdrrrrrrr rip bro)

Mars est légèrement en avance par rapport au temps donc vous pouvez encore caler des actions entre le post d'@Atlas Deus-Felis et le mien !!!!!!

— GOLDEN WEEK: CRÉPUSCULE
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« Careful ! Pandore, i think we should… destroy this thing. » Mais la valise n’a pas l’air d’accord, reste sourde aux sorts lancés par une Pandore qui n’a pas l’air de mesurer le danger. « No. […] » Il n’y a aucun doute, Mal est catégorique et quand elle retire son gant et pose sa main d’ébène sur la valise, Pandore comprend qu’ils sont pareils, tous les trois.

Pandore — 12:02 (en avance)

Sauf que la valise s’ouvre et soudain c’est le chaos. Un regard accordé mais elle finit par ignorer les autres créatures, parce que ses yeux se posent sur l’épouvantard et un frisson lui parcourt l’échine, angoissée à l’idée que les derniers mois aient changé sa forme et que, si elle en devient la cible, des hommes en noir apparaissent et ravivent des traumatismes chez plusieurs hensokus. Mais il ne s’attaque pas à elle et le cœur vacille quand Atlas s’en retrouve victime, acculé, la baguette envoyée à l’autre bout du monde. « Atlas!! » Elle tend la sienne vers l’épouvantard.

Option 1/succès : elle réussit le sortilège de riddikulus (as the queen she is) et l’épouvantard se transforme en inferi-arlequin, se met à danser, soudain moins effrayant.
Option 2/échec : pas suffisamment concentrée, le sortilège ne fonctionne pas et Pandore se jette devant Atlas pour le protéger. En réponse, l’épouvantard se transforme, s’adapte à sa propre peur et deux hommes en noir apparaissent.

❝ résumé,, en avance, Pandore assiste impuissante à l'attaque de l'épouvantard sur @Atlas Deus-Felis et tente de l'aider, réussit son riddikulus.

— GOLDEN WEEK: CRÉPUSCULE
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Ses recommandations n’ont que pour effet d’énerver la jeune femme face à elle (Sonoe) et Nae s’en offusque. « Je n’ai rien d’autre à cacher que l’envie d’éviter les problèmes, j’ai un portoloin pour la France à prendre et votre idée de toucher à une baguette suspecte ne me semble pas être un raccourci vers mes vacances. » qu’elle répond en haussant les yeux un ciel. Sa réponse semble cependant se faner dans l’apparition du passé de la baguette. Un vol se dessine sous leurs yeux et trop vite les rumeurs se mettent à circuler, les accusations aussi. Dans un mouvement de foule, on leur demande de s’éloigner et on accuse Blue et Sonoe.

Nae allait prendre la parole dans le but d’indiquer à la garde que la baguette se trouvait là abandonnée mais elle n’en a pas le temps car c’est un nouveau grabuge qui retentit dans la gare. Avec lui, se répandent la panique et les cris lorsque la lumière se rallume. À ses pieds, Nae voit passer des dizaines d’acromentules et elle ne peut s’empêcher de hurler à son tour. « Repello Aranea ! » lance-t-elle après avoir saisi sa baguette et l’avoir pointé en direction des araignées géantes. Elle répète le sort encore et encore, en désespoir de cause. Pourtant, il lui semble que le flot d’acromentules ne se dissipe jamais.

12:05 - en avance

Le flot d'araignées finit par se dissiper autour du groupe où se trouve Nae, les sorts de répulsions ayant suffit à éloigner les bestioles les unes de autres pour permettre aux humains de continuer à se tenir droit. « On a réussit ! » se réjouit-elle en cherchant Kell du regard. C'est seulement à cet instant qu'elle réalise que si dans les mètres qui l'entourent c'est une réussite, on ne peut pas en dire autant du reste de la gare.

❝ résumé,, Nae répond à l'accusation de  @Uotani Sonoe  mais leur discussion n'a pas le temps de continuer puisque la garde arrive pour interroger les suspectes. Suite à l'ouverture de la valise Nae se retrouve parmi les bébés acromentules et panique. Elle réussit cependant à chasser les animaux. Fière d'elle, elle se rend vite compte que partout ailleurs, c'est toujours la catastrophe.  

— GOLDEN WEEK : CRÉPUSCULE
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Et la baguette lui échappa des doigts. Les sens étaient en alerte alors que les accusations fusaient autour de lui et que la garde se rapprochait d'eux. Laisser de l'espace pour aller où ? Ils étaient bloqués dans cette foutue gare. Et l'air sembla comme exploser, son souffle se fit court et la main de Nae quitta la sienne alors qu'il bascula sur le sol, ses pupilles ne pouvant quitter ce qui s'échappait de la valise à laquelle il n'avait jusqu'à présent pas fait attention. Fuck that. La lumière revint, sa conscience le quittait.

12:04 (en retard)
Les griffes s'étaient échappées. Déchirant la pulpe des doigts, transformant ses mains en celles d'un animal qu'il ne contrôlait pas encore assez. Not now. NOT NOW. Le souffle était court et il cherchait Nae du regard. Les araignées étaient là, elles l'étaient. Et s'étaient envolées aussitôt, comme disparues dans un écran de fumée qu'il ne percevait pas. Rien ne s'expliquait. Et sa raison grondait, l'animal en lui feulait. De désespoir ou de courage, ou bien d'un savant mélange des deux.
Il tâtonna à la recherche de sa baguette, devait faire peine à voir ainsi étalé sur le sol. Et autour de lui ne régnait que le chaos, les cris, la frayeur. C'est alors qu'il le vit, étrange silhouette drapée de noir. Les traits n'étaient pas les siens, et pourtant pas ceux de son père non plus ; le visage n'était qu'une superposition de père et fils. Sang de malheur qui coulait dans ses veines. Il se dirigeait vers lui. Et un gémissement lui échappa alors qu'il reculait si lentement.

Succès : Et le riddikulus fut jeté. Le regard se détourna, et la force revint à la vitesse d'une vague l'obligeant à se relever tant bien que mal et à retrouver Nae dans ce chaos.
Échec : Les mots restaient bloqués dans sa gorge, et la baguette serrée dans sa main ne lui était d'aucune aide face à l'apparition de ce mangemort à moitié son père à moitié lui. Il paniquait, alors que des points noirs apparaissaient déjà dans son champ de vision. Il allait s'évanouir.

❝ résumé,,
Kell et @Nae Ikinori sont séparés et il tombe alors que les araignées arrivent vers lui. Hop elles disparaissent d'un coup sans qu'il comprenne. Mais la fête ne fait que commencer parce que c'est son père qui prend le relais. Zé chouette par ici

— GOLDEN WEEK : CRÉPUSCULE

"of course not. I was just asking 'cause it's weird.” Elle avait une tête à trafiquer des panneaux d’affichage? Et puis dans quel but? Après avoir perdu un temps précieux à se justifier, son regard resta bloqué un instant sur l’horloge. Les aiguilles auraient du bouger non? Et voilà que la garde se rue vers deux jeunes femmes qu’Evie connait de vue. Elles ont des noms de couleur et de dessert.... Du moins de ce qu’elle s’en rappelle. L’anglaise s’était rapprochée de l’agitation et étouffa un cri étranglé à la vue des acromentules.

12h03 (en retard) : Elle courrait Evie sans savoir pourquoi, jusqu’à ce qu’une voix lui intime de faire demi-tour et…

12h05 (en retard) : Evie était juste derrière Kell sans même savoir comment elle s’était retrouvée là. Pas le temps néanmoins de laisser sa proximité la perturber. Une silhouette menaçante leur faisait face. La Kasai dégaina donc sa baguette avant de lancer un “Incarcerem”

Succès : Des cordes jaillirent de la baguette d’Evie, bloquant la silhouette encapuchonnée. Pour combien de temps?

Echec : La silhouette avait bloqué le sort d’Evie, pas franchement impressionnée. Try again.

12h06 (en retard) : “Are you alright?” Ses doigts s’agitèrent devant les yeux de Kell pour essayer d’obtenir une réaction de sa part. Où étaient passées les araignées de tout à l'heure d’ailleurs?

❝ résumé,,
Evie finit enfin par se débarrasser de la garde qui a trouvé de meilleures cibles ( @Blue Odair et  @Charlotte Rosier) mais d'un coup, c'est le bordel. Elle se retrouve près de Kell et d'une drôle de silhouette sombre avant même d'avoir le temps de dire quidditch et essaie de la ligoter (tuer des gens ça empêche de partir en vacances il parait). glitch Et la voilà en train de secouer sa petite main devant les yeux de @Kell Brekker pour voir s'il va bien.

— HOW 'BOUT WE TAKE A LITTLE BIT OF TIME AWAY?
portkeys station, april 29th ;;
CW : araignée.

11:57
aucun argument ne fait taire la clameur. elle enfle — et blue résiste et se débat, mais la poigne qui l'entrave en réponse est ferme, habituée. la garde l'oblige à coopérer. c'est de mauvais gré qu'elle finit par écarter ses poignets endoloris pour se laisser fouiller. « ouvrez vos sacs, maintenant. » vous n'avez aucun droit- elle peste, stoppée par des cris retentissants. « ne bougez pas d'ici ! » exige l'employée avant de rejoindre ses collègues, forcée de répondre à cette nouvelle urgence. l'écouter est bien la dernière intention de blue. tout va bien ? elle s'inquiète pour charlotte ; noe les rejoint sans attendre. des formes immenses se meuvent dans la pénombre… quelque chose les bouscule. blue bascule, sent grimper sur elle l'étrange poids responsable de sa chute, mais l'incertitude se teinte de lucidité : pattes multiples, toucher velu,

et les lumières se rallument sur une scène de cauchemar.

nez à nez avec les huit yeux d'une acromentule. un hurlement lui déchire la gorge. fresh… meat…, se régale la créature, formulation enfantine des syllabes contrastant avec une voix caverneuse. —

{ distortion du temps
perceptions retardées : +30 secondes par rapport à la timeline d'origine }
12:02
— blue hurle encore. expulso, elle tente, paume ouverte vers le sternum du monstre.

mais la détonation qui se répercute dans toute la gare n'est pas celle de son sortilège.

c'est un souffle sorti de nulle part qui secoue le bâtiment et fait vibrer les vitres. elle le sent la traverser comme une onde brute, qui la cloue au sol. terrassée un instant, elle rassemble ses forces pour basculer sur le côté. son souffle est lourd. à ses oreilles un sifflement aigu. noe assommée un peu plus loin. joue contre le carrelage froid, blue perçoit sans entendre le chaos qui l'entoure ; ses sens malmenés s'éveillent peu à peu, le flot de créatures n'a pas diminué.

12:04
sa main se referme sur la baguette lâchée plus tôt par l'homme qui les a accusées. mais le modero… dont elle vise une araignée qui se précipite vers elle fuse—

dans le vide. les monstres viennent de disparaître sous ses yeux, éparpillés plus loin dans la gare par elle ne sait quelle sorcellerie.

❝ succès,, le modero touche quelqu'un (toi ?) qui s'est retrouvé.e dans la trajectoire du sortilège. la personne se retrouve à bouger/parler au r… a… l… e… n… t… i… pendant quelques secondes (nb : sortilège inventé donc hésite pas à l'interpréter à ta guise bb)

❝ échec,, le sortilège part dans le vide.

❝ résumé,, blue et charlotte se font fouiller, puis le bagage est ouvert, obligeant la garde à aller se chercher une vraie occupation . (oui c absolument un angry point)
les créatures jaillissent dans les ténèbres, formes indistinctes, et les acromentules bousculent blue, ainsi que @uotani sonoe qui l'avait rejointe. alors qu'elles sont au sol les lumières se rallument — la réalité se disloque — l'explosion provoquée par mars les sonne. neo est assommée, blue peine à retrouver ses esprits. une autre araignée fonce vers elle alors elle tente de la ralentir, mais les acromentules disparaissent (dispersées dans le reste de la gare par le sort de nae sur une autre timeline).