see good in all things (saebyeog)

Lun 24 Jan 2022, 23:20

01

kim saebyeogji changmin

Nomkim 金

Prénom(s)saebyeog 새벽

Date de Naissance27.02.1998

Potentielélève

Nationalitéjaponaise

Occupationétudiant, libraire en alternance, club de littérature

02

the sunshine during darkness days ; les gestes qui font les poésies ; (learn to) know yourself ; it’s time to start dreaming again ; perfect as you are ; BE ALIVE ; mystery of love ; be so happy that when others look at you, they become happy too ; droit dans le soleil ; see good in all things ; how many nights does it take to count the stars? ; FAMILY FIRST ; it’s okay not to be okay ; suddenly all the songs were about you ; you are enough ; neck kisses, coffee dates and midnight car rides ; BE KIND ; you save everyone but who saves you? ; everyone is fighting a battle you know nothing about ; dessine-moi un mouton ; do more of what makes you happy ; be a rainbow in someone else’s cloud ; perfect boyfriend ; smell of books and flowers ; it’s you, because no one else makes sense ; la vie en rose ; always thought it was hard to love till you made it seem so easy ; douceur d’été ; life is way too short to spend another day at war with yourself ; honey ; des écumes de fleurs ont bercé mes dérades et d’ineffables vents m’ont ailé par instants ; and I realised no one has ever really touched me before you ; perfect boyfriend

►Ⅱ mystery of love
☼ PISCES ☾ PISCES ↑ LIBRA
enfj-a

03

Informations Anecdotes Chronologie

prénom & nom
kim 金 scandaleusement commun, mais la fierté s’extirpe pourtant de la banalité, fait de ce nom l’une des possessions les plus chères à son cœur. Il est important parce qu’il le lie à ses parents, à sa sœur, fait d’eux une famille soudée aux doigts entrelacés, depuis toujours et à jamais.

saebyeog 새벽 né pour être aussi lumineux que l’aurore qui lui a donné son nom, couronné dès la naissance, on a décrété qu’il serait brillant, sans attendre pour autant la perfection, petit prince d’une famille-constellations.

lieu de naissance & âge
23 ans ; Okayama, 27.02.1998, 08:00pm dans l’intimité de la campagne japonaise et dans un éclat de rire, le même jour que son frère de cœur, jumeaux au sang différent qui en viendraient même à partager une peau. il ne sait pas qu’il devrait prêter attention au temps qui passe, se contente de profiter de ses jeunes années, parfois vieilli par son attitude, parfois triste de ne pas pouvoir rester pour voir sa petite sœur grandir.

nationalité
japonaise il n’a jamais connu que le Japon, pourtant fier de ses origines coréennes, nourrit l’espoir discret qu’un jour il aura les moyens d’y aller.

baguette
27cm, poirier, bois de halh fine, souple, il la manie avec tellement d’élégance et de grâce que parfois on ne sait pas si c’est une baguette ou un pinceau. Elle est marquée d’une trace de main d’enfant presque invisible, une manière de porter sa petite sœur au plus près de son cœur, même à des centaines de kilomètres.

élément, groupe
kaze 風 le choix s’est fait dans le silence, après un moment d’attente sans qu’aucun yokaï ne s’avance. Il est persuadé que la grue a pu voir au-delà de la peau factice, déceler la tornade rugissant dans ses entrailles, ne se doute pas qu’elle a plutôt vu l’ironie du sort d’un élève de la maison de l’immortalité destiné à mourir trop tôt, voulait peut-être tenter de contrer l’irrémédiable.

occupations
étudiant -lettres il n’a jamais eu de mal à briller, malgré tout studieux et appliqué dès l’enfance, à porter sur ses frêles épaules le poids d’une pression familiale inexistante. il voulait réussir, pas parce que ses parents en attendaient trop de lui mais parce qu’il voulait les rendre fiers, se sentait investi d’une responsabilité pour le bien de la famille toute entière, à jamais reconnaissant de leurs sacrifices. ce sont eux qui l’ont forcé à ne pas abandonner ses passions, ont insisté pour qu’il prenne le dessin et la poterie en options.

libraire à l’otepia -en alternance depuis cinq ans et son entrée dans le supérieur, au départ parce qu’il voulait à tout prix soutenir ses parents et ne pas les contraindre à de trop grosses dépenses. il y est resté par amour, celui des livres autant que du lieu, incapable de changer d’alternance, comme une sensation d’être à la maison.

club de littérature amoureux des livres, le club a été une évidence. il pourrait passer des heures à écouter les autres, se lancer lui-même dans des monologues infinis ou arrêter sa lecture un instant pour écouter les pages se tourner dans le calme d’une bibliothèque.

situation financière
modeste très vite conscient et indépendant, il se sentait coupable de chaque dépense infligée à ses parents, leur assurant toujours qu’il ne manquait de rien, suffisamment débrouillard pour faire de ces affirmations la vérité. la possibilité d’une alternance lui est apparue être une bénédiction et s’il vit correctement et ne s’interdit rien, il tient quand même à envoyer chaque mois un peu d’argent à ses parents.

orientation & statut civil
en couple après celle d’avant et avant celle d’après, parce qu’elles le deviennent toutes, parce que ça ne dure jamais, ils finissent toujours par se laisser. ce n’est jamais la bonne, Saebyeog ne sait pas pourquoi, cherche quelque chose sans savoir quoi, à mille lieues de penser que l’autre partie de son âme est juste à côté. ça ne l’empêche pas d’être heureux, d’ailleurs, lorsque d’un sourire il fait virevolter Usagi au-dessus des cieux, leurs doigts enlacés et leurs cœurs embrasés. il pourrait presque sentir les papillons tournoyer lorsqu’il vient l’embrasser, même si en réalité il sent plutôt la chaleur d’un arc-en-ciel ou d’un soleil de juillet, là, au creux du cœur caché sous l’épiderme invisible.

amortentia
hortensias, livres, campagne au matin hortensias, l’odeur de sa sœur, de ce lien fraternel que rien ne peut venir briser. les livres qu’il pense avoir bien interprétée, qu’il lie à l’amour porté à ces milliers de pages qu’il aimerait avoir le temps de lire avant de mourir, sans se douter que l’odeur évoque le trésor tant recherché, l’âme-sœur dont il ne se doute pas qu’elle est là, à quelques pas. la campagne au matin, c'est cet imbroglio d’odeurs qui ne forment dans son esprit qu’un seul mot, s’imposant de lui-même, apaise instantanément : la maison.

patronus
tortue elle a la sagesse et le calme d’un saebyeog pourtant parfois voué aux tempêtes intérieures, aux tornades qui repoussent la tortue au large, quoiqu’à l’aise en pleine mer.

épouvantard
son hensoku il ne sait pas, cependant, parce qu’il n’a jamais cherché à connaître son épouvantard, dans le déni de son désamour, persuadé que son hensoku ne le dérange pas, habitué pourtant à se cacher, n’imagine pas la vie autrement qu’avec la peau d’un autre.

risèd
le bonheur qui pour lui prend plusieurs formes, implique le bonheur de sa famille mais aussi la complétude, que soit enfin comblée cette sensation de vide, la main dans celle d’une silhouette inconnue aux contours flous.

particularité(s)
hensoku ryū il vit dans le secret depuis ses six ans, protégé par des parents qui ne souhaitaient que son bonheur, déterminés à ce qu’il puisse avoir une vie normale. Ils ne l’ont jamais appelé que don, ignorants de l’existence des hensokus depuis leur profonde campagne, mais s’il se refuse à le qualifier d’anomalie, il se ment à lui-même, parce qu’au fond il ne peut se résoudre à continuer de le considérer comme un véritable don. Il se cache constamment, compte sur les doigts d’une seule main les personnes au courant, préfère ne pas en parler et faire comme si de rien n’était plutôt que de s’introspecter.

1 peau transparente qui révèle les organes et une météo intérieure changeant en fonction de ses émotions

il s’est toujours épanché en regards du spectacle étrange et macabre que donnent à voir sa peau-papier calque et la curieuse météo changeante sous la verrière, dans le jardin qu’est devenu son corps. ce n’ont jamais été des regards d’amour ou d’admiration, pourtant. peut-être dans le déni de sa bizarrerie, Saebyeog s’observe, s’analyse, mais on ne sait pas vraiment s’il associe ce qu’il voit à lui-même, ne semble admirer le don que parce qu’il est avant tout une anomalie. il aurait pu devenir la muse de De Vinci, à quelques centaines d’année près, alors il est devenu la sienne à défaut, se décortique dans le miroir pour produire des dessins anatomiques d’exception, parfois empêché par les ondulations colorées qu’il ne comprend pas tout à fait, sait juste qu’elles sont liées à ses émotions et qu’elles se précisent en fonction, devenant nuages au gré du vent, tempêtes en pleine explosion ou soleil brûlant.

2 destin lié à une âme-sœur dont il augmente l'espérance de vie en réduisant la sienne

il ne sait ni ce que ça implique, ni que c’est en réalité cassé, que le dragon ne devrait pas prendre la vie mais plutôt la donner. ce qu’il sait, ce qu’il sent, c’est un vide, une sensation étrange de ne pas être complet, de toujours manquer ~~de quelque chose~~ de quelqu’un, qui le laisse meurtri d’une quête peut-être impossible, parce qu’il n’a aucune idée de comment trouver une personne en ne sachant rien d’elle. compréhensifs et soutenants, ses parents lui ont toujours fait rencontrer du monde, mais ce n’est jamais un succès, l’âme ne parvient pas à trouver sa sœur, celle dont la mère a été épargnée en même temps que ses parents. Ils persistent avec un sourire et des traits désolés, loin de se douter que la trouver signerait tragiquement le début de sa fin.

anecdotes
petite sœur prunelle de son cœur, malgré leurs dix-neuf ans de différence il pourrait voler la Lune si c’était son souhait, la prend sur ses épaules pour la faire virevolter et continuera à le faire lorsqu’elle aura grandi, sûrement. elle le regarde avec amour et admiration, se dit que son grand-frère ne peut être que perfection, quémande sans cesse des week-ends auprès de lui à ses parents. il ne se montre pourtant que sous artifices, bien qu’il stoppe le sort et révèle la peau translucide à sa demande, incapable de lui dire non ; se nourrit sans le dire de ces regards fascinés et de ces doigts qui effleurent la peau, regardent la neige tomber ou les arc-en-ciel briller avec l’insouciance d’un enfant qui ne voit pas ça autrement que comme une bénédiction.

les autres l’enfer, ce ne sont pas les autres, c’est plutôt lui - mais il n’a jamais reconnu et ne reconnaîtra jamais que c’est vers cette pensée qu’il tend, même en acceptant de la minimiser. considérera toujours que c’est trop fort, de dire que l’on n’aime pas quelque chose qui fait autant partie de soi, ça ne se peut pas. ça ne se voit pas, d’ailleurs, parce que lorsqu’il parle de son don il en parle calmement, avec détachement et un sourire au bord des lèvres, assure qu’il est en paix avec sa différence, mais qu’il préfère se cacher pour mieux se protéger (on ne sait jamais).

discret parfois trop, on a du mal à savoir ce qu’il pense ou ce qu’il ressent, parce qu’il n’est pas dans ses habitudes de se confier ; peut-être parce que son propre corps est un livre ouvert sur ses émotions, lorsqu’il ne se cache pas sous la peau d’un autre. sa réserve a causé des séparations, mais au fond Saebyeog est discret parce qu’il laisse briller les autres, ceux qu’il aime, peu à l’aise sous les feux des projecteurs, trop habitué à être un secret. il en profite pour ne pas y réfléchir ni chercher à changer, assure qu’il se convient tel qu’il est.

people pleaser serviable à l’extrême, il peut parfois en être agaçant, parce qu’il pense toujours aux autres et à ce qui leur ferait plaisir. offre des fleurs ou des chocolats, aide à porter les courses, a toujours le bon mot et ne semble jamais pouvoir s’énerver - il est rare, voire impossible de l’entendre hausser le ton, alors même que des orages grondent souvent dans ses entrailles, préfère largement résoudre les conflits calmement.

random facts se languit de la vie à la campagne, mais apprécie la vie de l’urbain ; excellent cuisiner, qui a commencé à apprendre auprès de sa mère, enfant ; fasciné par les vulptex, peut-être du fait de leur ressemblance avec son propre don, mais il n’a jamais passé le cap d’en adopter un ; aimerait apprendre plusieurs langues, visiter le monde, mais ne pourrait pas se détacher de sa famille ni de Mini ; la main verte et manuelle, entre plantes et poteries en tous genres

1986

il a suffi d’une berge. ils étaient trois et ne se connaissaient pas, avaient profité d’on ne sait quelle occasion pour voyager sur une île un peu loin de tout, surtout de chez eux, à quelques années de la naissance de leurs enfants respectifs. hasard ou destin, ils se sont retrouvés sur la même berge pour pique-niquer, au bord d’un lac un peu discret. quand le laboratoire a explosé, un dragon habitant le lac, yokaï protecteur, s’est interposé pour les sauver, les irradiant de particules magiques et liant à tout jamais leur progéniture, Saebyeog et Kouta.

1998février

27 naissance à Okayama, à quelques minutes de celui qui deviendra son frère de cœur, Mini.

2004

juin la peau s’efface une première fois au niveau des côtes, cachée par les vêtements d’un enfant insouciant qui ne remarque rien, fronce seulement les sourcils face à une nouvelle sensation - premier éclair d’une météo intérieure encore oscillante.
juillet la peau s'efface à nouveau sur une jambe, il croit rêver, cherche ses parents ; le temps d'arriver auprès de sa mère, l'épiderme est bien là, il a rêvé, tout va bien se passer.
août au réveil, la peau de son ventre et d'une jambe a disparu, ne revient pas, même quand Saebyeog court jusqu'à ses parents en larmes, qui ne comprennent pas plus que lui ce qui se passe. ils décident d'attendre une nuit mais rien n'y fait, en quelques heures tout son épiderme devient translucide et révèle un orage créé par sa panique. emmené voir le médecin familial, qui ne comprend pas plus, promet de se renseigner. l'enfant est alité, protégé, pourtant tout semble aller bien.
septembre le médecin revient avec des mots de grand, propose un recensement, plus d'expérimentations. les parents refusent, réussissent à le convaincre, à toucher l'ami plus que le médecin. ils se mettent à chercher une solution pour que Saebyeog puisse avoir une vie normale : vivre caché à défaut de vivre comme ça, sans jamais parler de malédiction pour autant, seulement de don. il ne sort plus, cache à Mini la vérité, enfant-bulle pour quelques temps. ses parents parlent de maladie, permettent aux deux enfants de se parler, sans pouvoir se voir.
décembre un matin, le médecin revient, annonce qu'il a trouvé un sortilège permettant de copier la peau d'un autre. c'est la renaissance, à condition de trouver quelqu'un du même âge, faire accepter à ses parents. ses parents décident d'en parler aux parents de Mini, à qui Saebyeog finit par dire la vérité et lui demande lui-même. Mini accepte ; de frères de cœurs, ils deviennent frères de peau.

2005

janvier l'acclimatation se fait avec le temps, fatigue les deux enfants. la copie de la peau n'est que visuelle, le sort réalisé par le médecin, puis par l'un de ses parents, ne dure qu'un jour et peut être arrêté à n'importe quel moment. nouvelle normalité sous les yeux inquiets de tous, malgré tout heureux de les voir s'être retrouvés.
avril entrée à Mahoutokoro, entouré de son meilleur ami, un peu tremblant à l'idée que le sort s'arrête en pleine journée, mais dans l'excitation de cette nouvelle vie chez les kaze. ses parents ont mis toutes leurs économies dans un appartement sur l'île, quittent un moment leur campagne pour trouver un travail près de l'école et vérifier que tout se passe bien, en profitent pour envoyer des nouvelles de leur fils aux parents de Mini. ils apprennent l'existence des hensoku, convaincus qu'ils doivent continuer à garder le don de leur fils secret.

2008

octobre à force d'utilisation, le sort devient plus performant et, un peu modifié par ses parents sur le conseil du médecin de famille, permet la copie de la peau sur une semaine, plutôt qu'un seul jour.

2011

juillet pour la première fois, Saebyeog se lance le sort sur lui-même, guidé par ses parents, et s'entraîne ensuite de manière appliquée, convaincu que bientôt il n'aura plus besoin d'eux.

2013

mai désormais capable de lancer le sort et de l'interrompre à souhait, ses parents retournent à la campagne, inquiets mais en confiance. Saebyeog rentre régulièrement, commence à regarder son don d'une autre manière, à réellement s'observer, s'esquisser.

2017

avril obtention de ses ASPICs avec mention, entrée dans le supérieur et début de son alternance à l'Otepia.
juillet naissance de sa petite sœur à Okayama.

2021décembre

31 d'un baiser sous les feux d'artifice de la nouvelle année, sa main et son cœur se lient à ceux d'Usagi, le sourire aux lèvres et le soleil brûlant au creux des reins.

@

chrono complète par ici

04

Hors-jeu

Pseudo IRLjabberwocky

Pronomsshe/her

Créditsasabel, midnight gold

je me demande si ça vous a fait mal, quand vous êtes tombé.e.s du ciel

Lun 24 Jan 2022, 23:20

MA VIEEE

Lun 24 Jan 2022, 23:21

NTJFDKC

Lun 24 Jan 2022, 23:21

Lun 24 Jan 2022, 23:22

BÉBÉ

Lun 24 Jan 2022, 23:23

JE POSE MA FILLE ICI AUSSI EVIDEMMENT <3

Lun 24 Jan 2022, 23:29

incroyable !!!!!!

Lun 24 Jan 2022, 23:30

AAAAAAAAH
(j'retiens j'ai pas reçu le lien) (kidding)

Lun 24 Jan 2022, 23:32

MON BB

Lun 24 Jan 2022, 23:41

Je veux

Mar 25 Jan 2022, 08:43

HIHIHIHI C’EST VIDE ! I need more à me mettre sous la dent pour venir crier partout dans tes DM que je l’aime déjà trop. Et ptn t’es vraiment une loveuse jusqu’au bout 🥴
Bon courage pour cette fiche et ce nouveau personnage mon petit coeur d’amour. Évidemment j’attends des détails croustillants en privé :eyes:

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