boulevard of broken dreams (gaia)

21.04.2001 ·· 21yo.Naissance & Âge :

cw:

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gaia belacquanatalia dyer

Nombelacqua

Prénom(s)gaia

Date de Naissance21.04.2001

Potentielélève

Nationalitéjaponaise

Occupationétudiante, préfète, violoniste

02

boulevard of broken dreams (gaia) FHgezoz

a tornado of roses from divine ; elle te fera les gestes qui font les poésies ; boulevard of broken dreams ; et la nuit je pleure des larmes qui coulent, le long de mes joues ; your world starts crashing down ; princess ; mystery of love ; too many questions and not enough answers ; CATABASE ; architect of my own d e s t r u c t i o n ; I used to bite my tongue and hold my breath, scared to rock the boat and make a mess ; wrong side of heaven ; elle a les yeux couleur du vide ; we accept the love we think we deserve ; how many nights does it take to count the stars? ; droit dans le soleil ; HIDDEN SECRETS ; tes yeux sont trop grands, on voit ton cœur à travers quand tu ris ; of monsters and men ; smell of books and flowers ; des écumes de fleurs ont bercé mes dérades et d’ineffables vents m’ont ailé par instants ; l’innocence des jours (mal)heureux ; turn off the light ; les moments d'éternité sont toujours trop courts ; trouble in paradise ; tu n’avais eu longtemps pour distraction que la douceur des couchers de soleil ; shadows and lights ; DOUCEUR D’ÉTÉ ; on pleure parfois les illusions avec autant de tristesse que les morts ; m a s c a r a d e ; people are more what they hide than what they show ; dessine-moi un mouton ; what do you believe in?

►Ⅱ someone you loved

☼ TAURUS ☾ SCORPIO ↑ TAURUS
entj-t

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Informations Anecdotes Chronologie

prénom & nom
belacqua il est scandé avec fierté, le sourire aux lèvres, à parfois se satisfaire d’être la seule à le porter, sans savoir qu’en réalité les racines n’ont pas toutes été arrachées. pourtant il n’évoque rien, ni famille prestigieuse, ni racines remarquables, seulement signe d'une famille qu’elle n’a jamais connue, à l’autre bout du monde.

gaia place en elle des espoirs maternels de grandeur, de perfection, le menton relevé d’un doigt qui se fait tendre, malgré tout, mais qui l’oblige à se tenir droite, en attend toujours plus, imaginait déjà la couronne sur sa tête alors que Gaia faisait à peine ses premiers pas.

lieu de naissance & âge
21 ans ; kantô, 21.04.2001, 06:00am en même temps que la rosée, parce qu’elle faisait la course avec le soleil, voulait lui voler la vedette. elle est arrivée dans des bras aimants, embrassée comme si sa mère avait peur de la voir s’envoler, les doigts serrés à ceux de sa grande sœur. vingt ans et la jeunesse clamée par les traits, pas sûre d’être prête à dire adieu à sa vie d’avant pour les responsabilités d'adulte ; de toutes façons elle reste femme-enfant, qu’elle le veuille ou non.

nationalité
japonaise adoptée depuis quelques semaines à peine, les papiers encore brillants et elle qui n’ose pas les toucher, se dit que ça le rendra peut-être moins vrai, que le tampon est encore trop frais. désormais désuet, le passeport anglais a tiré sa révérence, de toutes façons jamais vraiment utilisé.

baguette
33cm, saule, épine de monstre du fleuve blanc sa longueur et sa finesse laissent supposer l’élégance, loin de la puissance parfois brute de duellistes émérites. elle est rigide, pourtant, révèle ces idées arrêtées sur lesquelles Gaia ne revient pas.

élément, groupe
mizu 水 la carpe koï a été le seul yokaï à s’avancer et Gaia y a vu un signe du destin, une manière de donner un sens à son existence. Symbole peut-être inexistant, ça ne l’a pas empêchée de décréter à sept ans que l’eau serait son élément, elle en portait déjà le nom.

occupations
étudiante -technomagie et danse classique studieuse, parfois trop, incapable de compter les heures, les sourcils froncés, la langue serrée entre les lèvres et les ongles qui tapent frénétiquement sur la table, déterminée à l’excès pour des bonnes notes et la fierté, la sienne autant que celle de sa mère. vie toute tracée, elle n’a pas eu le choix de la technomagie, décidée par une mère qui n’avait pas attendu sa naissance pour l’imaginer ingénieure de renom. Gaia a réussi à s’imposer, pourtant, à courber les traits indélébiles d’un avenir brillant pour y intégrer la danse classique, louant le prestige d’un double-cursus qui lui permet de pratiquer sa véritable passion.

préfète symbole de mérite par excellence, elle porte sa maison en étendard, fière et loyale aux mizus. elle y voit aussi une nouvelle manière de briller, de se faire une place dans une maison qui ne pouvait qu’être la sienne.

violoniste elle y met toute sa rigueur, sa patience, sa concentration. les gestes sont mesurés, posés, rendus instinctifs par les années de pratique, alors quand ses yeux se ferment parfois les mains continuent seules, n’ont plus besoin d’être guidées, et pendant un moment Gaia est ailleurs, emportée par la mélodie.

situation financière
choyée elle n’a jamais vraiment su comment sa mère parvenait à subvenir à leurs besoins, ne le saura sans doute jamais ; protégée, infantilisée, Gaia ne grandira jamais à ses yeux, études et vies payées par le mystère d’une bourse qui ne tarit jamais, mais qu’elle se sent pourtant coupable d’utiliser. alors elle vit simplement, se contente de peu, déterminée à réussir sa vie pour prendre soin d’elle à son tour.

orientation & statut civil
célibataire elle a toujours cru que c’était pour les autres, n’ose y songer, se dit qu’elle ne peut pas, qu’elle n’a pas le temps, que la réussite ne s’atteint pas à deux. elle s’en pense tellement illégitime qu’elle a toujours été incapable de voir l’évidence, de deviner les regards posés sur ses traits et les sourires qui lui étaient destinés, à toujours se convaincre qu’on s’intéressait plutôt à la fille de derrière ou d’à côté. le cœur vibre, pourtant, rêve de l’amour comme on le lit dans les livres, mais impossible de le faire devenir réalité, puisque dans tous les cas elle n’oserait pas. quelques semaines que c’est pire, que les sentiments sont laissés sur le pas d’une porte fermée à double-tour, persuadée qu’un monstre ne mérite pas d’être aimé.

hétérosexuelle mais encore aucune expérience pour en être sûre, elle ne s’est jamais posé la question, n’en a jamais eu l’occasion.

amortentia
framboises, livres, le propre les framboises qu’elle ne comprend pas, odeur héritée de ce qui n’est désormais plus qu’une ombre, qu’un fantôme disparu et oublié, elle peut en manger tous les jours sans s’en lasser, s’y accroche quand ça va et quand ça ne va pas. les livres, l’esprit jamais satisfait, le besoin de dévorer les pages jusqu’à en perdre la notion du temps, elle n’entend parfois plus les voix autour quand elle se laisse emporter dans sa lecture. le propre - rectification, le parfait. l’odeur illustre ce besoin irrépressible de contrôle, d’excellence, sans le moindre défaut, la moindre saleté.

patronus
ourson il est à la fois le poing serré pour défendre des idées inculquées depuis la naissance et l’innocence, la candeur d’une Gaia parfois encore enfant. elle parle fort, défend ce qu’elle pense mais n’ose jamais en venir aux mains, rattrapée par sa faiblesse de corps sans doute, à se demander si un jour l’ourson deviendra grand.

épouvantard
elle-même plus de souvenirs de la forme qu’il prenait avant de se changer en miroir, de lui renvoyer ce corps désormais insupportable, qu’elle considère inhumain, presque contre-nature. Plus besoin d’ouvrir l'armoire, sa vie est un épouvantard grandeur nature.

risèd
silhouette inconnue fantôme oublié, caché, elle ne sait pas qui est cette silhouette à ses côtés, se l’imagine venue du futur, connaissance à venir, loin d’imaginer qu’elles partagent le même sang. Difficile de souffrir de l’absence de quelqu’un quand on a oublié son existence.

particularité(s)
godaï eau une évidence pour l’enfant studieuse déjà persuadée que sa vie était liée à l’élément. alors elle s’y est plongée avec passion et acharnement dès ses sept ans, à se convaincre que comme pour tout le reste elle devait y briller, le maîtriser parfaitement, qu’elle ne prouverait son mérite qu’en étant la meilleure.

rokurokubi descente aux Enfers sans retour possible, sa transformation a signé la chute, lui a coupé les ailes pour l’empêcher d’atteindre le Paradis alors qu’elle n’avait même pas essayé de s’approcher du soleil. même la mort ne voulait pas d’elle, a préféré mettre un rokurokubi sur sa route et en faire un monstre. elle s’abhorre comme on lui a toujours appris à abhorrer les rokurokubis, se dit que si elle ferme les yeux suffisamment longtemps, peut-être que tout s’arrêtera (surtout son cœur). alors elle n’écoute pas, pense pouvoir s’en sortir seule, entêtée dans sa déchéance, jusqu’à ce que le fil finisse par craquer et qu’elle soit obligée de prendre la main tendue pour ne pas s’écraser sur les rochers d’en bas.

anecdotes
mother choyée, surprotégée, Gaia n’a jamais douté être aimée. personne n’en a jamais douté, d’ailleurs, on disait même plutôt qu’elle l’était trop, qu’elle était de ces enfants curieux que leur mère n’osait pas laisser sortir trop longtemps, de peur de les voir s’envoler ou bien de tomber, qu’elles préféraient garder sous clé pour ne pas être en séparées. couronnée dès la naissance, Gaia érigée impératrice grandit entre amour et dureté, la sévérité pour atteindre une perfection que sa mère considérait indispensable. c’était comme si réussir la vie de sa fille, c’était réussir la sienne, comme si Gaia avait toujours été une peinture en construction et elle l’artiste, jamais satisfaite, toujours en demande de plus, de mieux - la meilleure ou rien.

haïr elle est née en le faisant, l’esprit embrouillé dès les premiers pas par une mère convaincue d’avoir raison, qui lui a transmis sa haine démesurée pour les rokurokubis en lui racontant la mort de son père, tué sauvagement par l’un d’entre eux. chaque année les adjectifs devenaient plus précis et plus violents, grandissaient en même temps que Gaia ; d’agressifs, les rokurokubis sont devenus animaux, sanguinaires, inhumains. elle n’a jamais osé en questionner la légitimité, convaincue avec le temps et sans pour autant le crier sur tous les toits, elle est capable de défendre cette idée jusqu’à parfois en briser des amitiés, persuadée d’avoir raison. telle mère telle fille.

alea jacta est elle crache sur les locutions latines, exècre le carpe diem et jette les dés au feu, persuadée que rien n’arrive par hasard, surtout pas sa transformation. tout a toujours eu un sens, d’ailleurs, son nom, l’eau, sa maison, elle voyait constamment en sa vie des symboles d’une route toute tracée, se plaisait à se dire qu’elle ne pouvait qu’aider le destin, pas réellement le contrôler. jusqu’à ce qu’elle se retrouve au mauvais endroit, au mauvais moment, victime d’un stupide et vulgaire vol qui a mal tourné ; alors elle s’y refuse, cherche des boucs-émissaires, dans le déni d’un hasard qu’elle considère inexistant. ça ne peut pas être aussi simple, pas quand elle a passé les vingt dernières années à abhorrer ce à quoi le destin vient de la condamner.

portés disparus ses souvenirs ne lui manquent pas, pourtant, difficile quand ils ont été réduits à néant et qu’elle n’a aucune idée de ce qu’elle rate. elle s’est construite dans un deuil constant, devenu ordinaire mais pourtant factice, orchestré par une mère obsessionnelle du contrôle et de la perfection, qui voyait en sa dernière fille une ultime possibilité de réussite, qui préférait brûler les dominos pour préserver le dernier au lieu de les remettre debout. personne pour placarder des affiches dans les rues, pas de numéro à appeler pour retrouver les souvenirs portés disparus.

couleur soleil parfois on dirait qu’elle a du mal à trouver sa place, étrangement. Gaia ne boit pas beaucoup, Gaia semble timide, est la fille studieuse de la bibliothèque, celle qui semble parfois ailleurs, mais elle cache une rage couleur soleil au creux du ventre, capable de se mettre en colère par amour ou par loyauté, les joues rougies et les sourcils froncés, la voix qui s’élève, avant de s’interrompre, sans jamais aller plus loin, la faiblesse de poings qui ne savent pas s’abattre sur les autres. ambivalence d’accès de colère qu’elle ne comprend parfois pas, il faut dire que quand on opprime ses émotions pour atteindre la perfection, on peut s’attendre à les voir répliquer.

1997octobre

22 naissance de sa sœur Aria à Londres, dans une famille aux airs de perfection.

2001janvier

l’accalmie ne durera pas, pourtant, parce qu’une dispute éclate, à quelques mois de la naissance de Gaia. furieuse et rancunière, Calista fait subir un sort d’oubliettes à leur père et à l’aînée, convainc le premier qu’il n’a jamais eu d’enfants et la seconde que son père a été assassiné par un rokurokubi. elle quitte l’Angleterre pour le Japon.

2001avril

21 naissance de Gaia à Kantô, enfant joyeuse et curieuse qui rit et sourit à cette mère et cette sœur excitées de la rencontrer. elle ne connaîtra jamais son père, persuadée qu’il a été tué avant sa naissance.

2004décembre

alors qu'elles se baladaient au marché de Noël, Aria est transformée par un rokurokubi ; trouble dans leur vie parfaite, Calista la renie, l’envoie au Royaume-Uni se faire adopter, condamne l’enfant d’à peine sept ans à disparaître, efface son existence comme on changerait un tableau accroché au mur. elle fait subir un sort de faux souvenirs à Gaia, alors à peine âgée de trois ans, dernier espoir de perfection, qui la persuade d’avoir toujours été fille unique.

2008avril

entrée à Mahoutokoro, elle rejoint les mizu.

2019avril

entrée dans le supérieur, elle devient préfète des mizu.

2021mai

25 premier date avec Inwoo, sans trop oser croire qu'il est vraiment là pour elle. le sujet des rokurokubis est amené, brise l'entente naissante. Gaia s'énerve, s'enfuit, disparaît dans la foule. victime d’un vol qui a mal tourné, elle est laissée pour morte dans une ruelle, trouvée par un rokurokubi qui l'entend bien sa supplication de la laisser mourir, mais persiste et la transforme sans son consentement. C’est la chute et elle ne veut pas croire au hasard, cherche des boucs-émissaires, se met à chercher son zensha disparu. avalée par les effets secondaires mais trop de répulsion et de fierté pour accepter sa situation, accepter les mains tendues.
29 interrogatoire de la police à son dortoir, le corps faibli par la transformation, encore sous le choc.

@

chrono complète par ici

04

Hors-jeu

Pseudo IRLjabberwocky

Pronomsshe/her

Créditsmerigold, vocivus, prima luce

je m'appelle margot mais toi tu peux m'appeler ce soir :coeur: :smirk:

30.08.1997 ; à l'aube à peine des vingt-quatre ans.Naissance & Âge :

PREMS

05.01.1998, 24 ans.Naissance & Âge :

11.06.98, 23 ansNaissance & Âge :

fkehfjr

outrée d'être si bas

∙ vingt ans (02.11.01)Naissance & Âge :

AH OUI
DAKOR

(t belle)
(natalia)
(l'aes)
(feels)

L'AES ??
MIZU ??

WELCOME BACK CUTIE :bsx2:

07.07.98 (23)Naissance & Âge :

BONJOUR

Meuf, d'où ça s'inscrit et poste une fiche vide, sans rien, RIEN à lire ? :eyes:

Y a de l'abus dans l'air moi je dis là wesh :dark:

Le peuple réclame la suite et par peuple, je parle de moi, oui, nous sommes plusieurs :pray:

Hâte d'en lire plus donc, et de voir ta nouvelle petiote en jeu :sad:

Rebienvenue tout plein :lama:

Force et courage pour remplir ces vides :hug:

11.05.99 ((23 yo))Naissance & Âge :

Je t'appellerai ce soir et tous les autres soirs si tu veux ! Je sais que t'as passé du temps dessus, alors tu mérites les compliments pour cet aaaaes on point :langue:

We want more now. I want more. Bon courage pour la fiche chère douceur :keur:

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